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Matthieu 14:5 - FRANÇAIS Bible des Peuples 1998 - BDP1998

5 Hérode l’aurait bien fait mourir s’il n’avait pas craint le peuple; en effet les gens le considéraient comme un prophète.

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অধিক সংস্কৰণ

Bible catholique Crampon 1923

5 Volontiers il l'eût fait mourir, mais il craignait le peuple, qui regardait Jean comme un prophète.

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Français Bible Louis Segond - fls

5 Il voulait le faire mourir, mais il craignait la foule, parce qu'elle regardait Jean comme un prophète.

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FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

5 Et voulant le faire mourir, il craignit le peuple, qui regardait Jean comme un prophète.

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Bible Darby en français

5 Et tout en ayant le désir de le faire mourir, il craignait la foule, parce qu’ils le tenaient pour prophète.

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Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

5 Il veut le tuer, mais il frémit de la foule, parce qu'ils le tenaient pour un inspiré.

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La Bible de Sacy 1759 - sacy

5 Hérode voulait donc le faire mourir; mais il appréhendait le peuple, parce que Jean en était regardé comme un prophète.

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Matthieu 14:5
10 পৰস্পৰ সংযোগসমূহ  

Lorsque le roi Joïaqim, ses officiers et ses chefs entendirent ses paroles, ils cherchèrent à le faire mourir. En apprenant cela Ouriyas eut peur, il prit la fuite et arriva en Égypte.


“Alors pourquoi alliez-vous là-bas? Pour voir un prophète? Oui, je vous le dis, et plus qu’un prophète.


Et si nous disons que c’était une chose purement humaine, gare au peuple! Car tous considèrent Jean comme un prophète.”


Car Jean est venu vous montrer le chemin de la justice, mais vous n’avez pas cru en lui, alors que les collecteurs de l’impôt et les prostituées croyaient en lui. Et malgré leur exemple, vous ne vous êtes pas repris: même après coup vous n’avez pas cru en lui.”


Et si nous disons que c’était une affaire humaine, tout le peuple va nous lapider, car ils sont convaincus que Jean était un prophète.”


On les menaça de nouveau, puis on les relâcha. On ne voyait pas comment les punir à cause du peuple, car tous rendaient gloire à Dieu à la suite de cet événement:


Le chef de la police du Temple s’y rend alors avec les auxiliaires et il les amène, mais sans violence, car ils n’ont pas envie de se faire lapider par le peuple


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