(88:17) Tes fureurs passent sur moi, Tes terreurs m'anéantissent;
Je suis malheureux et moribond depuis ma jeunesse; sous le poids de tes terreurs, je ne sais que devenir.
Je suis pauvre (, moi,) et dans les travaux depuis ma jeunesse ; et, après avoir été exalté, j'ai été humilié et troublé.
Les ardeurs de ta colère ont passé sur moi, tes frayeurs m'ont anéanti;
Humilié, en agonie dès ma jeunesse, je porte tes effrois, transi.
Malheureux et souffrant depuis l’enfance, tu m’as porté des coups terribles, je suis à bout.