L'insensé périt dans sa colère, Le fou meurt dans ses emportements.
La colère tue l'insensé, et l'emportement fait mourir le fou.
Certes, la colère fait mourir l'insensé, et l'envie tue les petits esprits (les enfants).
Car le chagrin fait mourir le sot, et la jalousie tue le simple.
Oui, l'exaspération tue le dément ; l'ardeur met à mort le niais.
5:4 Ses enfants ne trouvaient plus qui les aide, qui les défende en haut lieu face aux attaques.