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Matthieu 5:22 - Martin 1744

22 Mais moi je vous dis : que quiconque se met en colère sans cause contre son frère, sera punissable par le jugement ; et celui qui dira à son frère, Racha, sera punissable par le conseil ; et celui qui lui dira, fou, sera punissable par la géhenne du feu.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

22 Et moi, je vous dis: Quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par le tribunal; et celui qui dira à son frère: Raca, mérite d'être puni par le Conseil; et celui qui lui dira: Fou, mérite d'être jeté dans la géhenne du feu.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

22 Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges; que celui qui dira à son frère: Raca! mérite d'être puni par le sanhédrin; et que celui qui lui dira: Insensé! mérite d'être puni par le feu de la géhenne.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

22 Mais Moi Je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère, méritera d'être condamné en jugement ; et celui qui dira à son frère : Raca, méritera d'être condamné par le conseil ; et celui qui lui dira : Fou, méritera d'être condamné au feu de la géhenne.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

22 Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère légèrement contre son frère sera passible du jugement ; et quiconque dira à son frère : “Raca”, sera passible [du jugement] du sanhédrin ; et quiconque dira “fou”, sera passible de la géhenne du feu.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

22 Or, moi je vous dis : Qui brûle sans raison contre son frère est passible de jugement; qui dit à son frère : 'Raqa', 'Vaurien', est passible du sanhédrin; et qui lui dit : 'Fou !' est passible du feu de la Géhenne.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Matthieu 5:22
93 Cross References  

Et ses frères voyant que leur père l'aimait plus qu'eux tous, le haïssaient, et ne pouvaient lui parler avec douceur.


Alors ses frères lui dirent : Régnerais-tu en effet sur nous ? et dominerais-tu en effet sur nous ? Et ils le haïrent encore plus pour ses songes, et pour ses paroles.


Or Simhi parlait ainsi en le maudissant : Sors, sors, homme de sang, et méchant homme.


Puis David s'en retourna pour bénir sa maison ; et Mical fille de Saül vint au-devant de lui, et lui dit : Que le Roi d'Israël s'est fait aujourd'hui un grand honneur en se découvrant aujourd'hui devant les yeux des servantes de ses serviteurs, comme ferait un homme de néant, sans en avoir honte !


Et Achab vint en sa maison tout refrogné et indigné pour la parole que lui avait dite Naboth Jizréhélite, en disant : Je ne te céderai point l'héritage de mes pères ; et il se coucha sur son lit, et tourna son visage, et ne mangea rien.


Et Asa fut irrité contre le Voyant, et le mit en prison ; car il fut fort indigné contre lui à cause de cela. Asa opprima aussi en ce temps-là quelques-uns du peuple.


Et il établit des Juges au pays, par toutes les villes fortes de Juda, de ville en ville.


Et je leur dis : Nous avons racheté selon notre pouvoir nos frères Juifs, qui avaient été vendus aux nations, et vous vendriez vous-mêmes vos frères, ou nous seraient-ils vendus ? Alors ils se turent, et ne surent que dire.


Et des paroles pleines de haine m'ont environné, et ils me font la guerre sans cause.


Psaume de David, donné au maître chantre. L'insensé a dit en son coeur : il n'y a point de Dieu. Ils se sont corrompus, ils se sont rendus abominables en leurs actions ; il n'y a personne qui fasse le bien.


Guimel. Certes, pas un de ceux qui se confient en toi, ne sera confus ; ceux qui agissent perfidement sans sujet seront confus.


Que ceux qui me sont ennemis sans sujet ne se réjouissent point de moi ; et que ceux qui me haïssent sans cause ne m'insultent point par leurs regards.


He. Garde-toi de te courroucer, et renonce à la colère ; ne te dépite point, au moins pour mal faire.


Pour faire qu'il vive encore à jamais et qu'il ne voie point la fosse.


Ceux qui me haïssent sans cause, passent en nombre les cheveux de ma tête ; ceux qui tâchent à me ruiner, et qui me sont ennemis à tort, se sont renforcés : j'ai alors rendu ce que je n'avais point ravi.


Eternel mon Dieu ! si j'ai commis une telle action, s'il y a de l'iniquité dans mes mains ;


Ô Eternel ! que tes oeuvres sont magnifiques ! tes pensées sont merveilleusement profondes.


Le sage craint, et se retire du mal ; mais le fou se met en colère, et se tient assuré.


Les lèvres du fou entrent en querelle, et sa bouche appelle les combats.


Celui qui acquiert des richesses, sans observer la justice, est une perdrix qui couve ce qu'elle n'a point pondu ; il les laissera au milieu de ses jours, et à la fin il sera trouvé insensé.


Tsadi. Ceux qui me sont ennemis sans cause m'ont poursuivi à outrance, comme on chasse après l'oiseau.


Alors le Roi Nébucadnetsar saisi de colère et de fureur, commanda qu'on amenât Sadrac, Mésac, et Habed-négo, et ces hommes-là furent amenés devant le Roi.


Alors Nébucadnetsar fut rempli de fureur, et l'air de son visage fut changé contre Sadrac, Mésac, et Habed-négo ; et prenant la parole, il commanda qu'on échauffât la fournaise sept fois autant qu'elle avait accoutumé d'être échauffée.


La honte te couvrira, et tu seras retranché pour jamais, à cause de la violence faite à ton frère Jacob.


Mais tu ne devais pas prendre plaisir à voir la journée de ton frère quand il a été livré aux étrangers, et tu ne devais pas te réjouir sur les enfants de Juda au jour qu'ils ont été détruits, et tu ne les devais pas braver au jour de la détresse.


Et donnez-vous garde des hommes ; car ils vous livreront aux Consistoires, et vous fouetteront dans leurs Synagogues.


Et ne craignez point ceux qui tuent le corps, et qui ne peuvent point tuer l'âme ; mais plutôt craignez celui qui peut perdre et l'âme et le corps en les jetant dans la géhenne.


Mais les Pharisiens ayant entendu cela, disaient : celui-ci ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons.


Et comme il parlait encore, voici une nuée resplendissante qui les couvrit de son ombre ; puis voilà une voix qui vint de la nuée, disant : celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai pris mon bon plaisir ; écoutez-le.


Alors Pierre s'approchant, lui dit : Seigneur, jusques à combien de fois mon frère péchera-t-il contre moi, et je lui pardonnerai ? sera-ce jusqu'à sept fois ?


C'est ainsi que vous fera mon Père céleste, si vous ne pardonnez de tout votre coeur chacun à son frère ses fautes.


Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ! car vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et après qu'il l'est devenu, vous le rendez fils de la géhenne, deux fois plus que vous.


Serpents, race de vipères ! comment éviterez-vous le supplice de la géhenne ?


Alors il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche : Maudits retirez-vous de moi, et allez au feu éternel, qui est préparé au diable et à ses anges.


Or les principaux Sacrificateurs, et les Anciens, et tout le Conseil cherchaient de faux témoignages contre Jésus, pour le faire mourir.


Et voilà une voix du ciel, disant : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai pris mon bon plaisir.


Mais moi, je vous dis : ne jurez en aucune manière ; ni par le ciel, car c'est le trône de Dieu ;


Mais moi je vous dis : aimez vos ennemis, et bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous courent sus, et vous persécutent.


Or les principaux Sacrificateurs et tout le Consistoire cherchaient quelque témoignage contre Jésus pour le faire mourir, mais ils n'en trouvaient point.


Et d'abord au matin les principaux Sacrificateurs avec les Anciens et les Scribes, et tout le Consistoire, ayant tenu conseil, firent lier Jésus, et l'emmenèrent, et le livrèrent à Pilate.


Mais je vous montrerai qui vous devez craindre ; craignez celui qui a la puissance, après qu'il a tué, d'envoyer dans la géhenne ; oui, vous dis-je, craignez celui-là.


Et quand le jour fut venu, les Anciens du peuple, et les principaux Sacrificateurs, et les Scribes, s'assemblèrent, et l'emmenèrent dans le conseil ;


Alors les principaux Sacrificateurs et les Pharisiens assemblèrent le Conseil, et ils dirent : que faisons-nous ? car cet homme fait beaucoup de miracles.


Mais c'est afin que soit accomplie la parole qui est écrite en leur Loi : ils m'ont haï sans sujet.


Les troupes répondirent : tu as un démon ; qui est-ce qui cherche à te faire mourir ?


Alors les Juifs répondirent, et lui dirent : ne disons-nous pas bien que tu es un Samaritain, et que tu as un démon.


Et quelques-uns d'entre les Philosophes Epicuriens et d'entre les Stoïciens, se mirent à parler avec lui, et les uns disaient : que veut dire ce discoureur ? et les autres disaient : il semble être annonciateur de dieux étrangers ; parce qu'il leur annonçait Jésus et la résurrection.


Et le lendemain voulant savoir au vrai pour quel sujet il était accusé des Juifs, il le fit délier, et ayant commandé que les principaux Sacrificateurs et tout le conseil s'assemblassent, il fit amener Paul, et il le présenta devant eux.


Et Paul regardant fixement le Conseil, dit : hommes frères ! je me suis conduit en toute bonne conscience devant Dieu jusqu'à ce jour.


Qui devaient comparaître devant toi, et m'accuser, s'ils avaient quelque chose contre moi.


Alors leur ayant commandé de sortir hors du Conseil, ils conféraient entre eux,


Ce qu'ayant entendu, ils entrèrent dès le point du jour dans le Temple, et ils enseignaient. Mais le souverain Sacrificateur étant venu, et ceux qui étaient avec lui, ils assemblèrent le Conseil et tous les Anciens des enfants d'Israël, et ils envoyèrent à la prison pour les faire amener.


Et les ayant amenés, ils les présentèrent au Conseil. Et le souverain Sacrificateur les interrogea,


Et ils soulevèrent le peuple, et les Anciens, et les Scribes, et se jetant sur lui, ils l'enlevèrent, et l'amenèrent dans le Conseil.


Et comme tous ceux qui étaient assis dans le Conseil avaient les yeux arrêtés sur lui, ils virent son visage comme le visage d'un Ange.


C'est ce Moïse qui a dit aux enfants d'Israël : le Seigneur votre Dieu vous suscitera un Prophète tel que moi d'entre vos frères ; écoutez-le.


Etant portés par la charité fraternelle à vous aimer mutuellement ; vous prévenant l'un l'autre par honneur.


Ne vous trompez point vous-mêmes : ni les fornicateurs, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni ceux qui commettent des péchés contre nature, ni les larrons, ni les avares, ni les ivrognes, ni les médisants, ni les ravisseurs, n'hériteront point le Royaume de Dieu.


Mais un frère a des procès contre son frère, et cela devant les infidèles.


Car il ne manquera pas de pauvres au pays ; c'est pourquoi je te commande, en disant : Ne manque point d'ouvrir ta main à ton frère, savoir, à l'affligé, et au pauvre de ton peuple en ton pays.


Tu t'établiras des juges et des prévôts dans toutes tes villes, lesquelles l'Eternel ton Dieu te donne, selon tes Tribus ; afin qu'ils jugent le peuple par un jugement droit.


Que personne ne foule son frère, ou ne fasse son profit au dommage de son frère en aucune affaire ; parce que le Seigneur est le vengeur de toutes ces choses, comme nous vous l'avons dit auparavant, et comme nous vous l'avons assuré.


De ne médire de personne ; de n'être point querelleurs, mais doux, et montrant toute débonnaireté envers tous les hommes.


Prenez garde de ne mépriser point celui qui vous parle ; car si ceux qui méprisaient celui qui leur parlait sur la terre, ne sont point échappés, nous serons punis beaucoup plus, si nous nous détournons de celui qui parle des Cieux ;


Et ayant été consacré, il a été l'auteur du salut éternel pour tous ceux qui lui obéissent ;


Mais, ô homme vain ! veux-tu savoir que la foi qui est sans les oeuvres est morte ?


La langue aussi est un feu, et un monde d'iniquité ; car la langue est telle entre nos membres, qu'elle souille tout le corps, et enflamme tout le monde qui a été créé, étant elle-même enflammée du feu de la géhenne.


Qui lorsqu'on lui disait des outrages, n'en rendait point, et quand on lui faisait du mal, n'usait point de menaces ; mais il se remettait à celui qui juge justement.


Ne rendant point mal pour mal, ni outrage pour outrage ; mais, au contraire, bénissant ; sachant que vous êtes appelés à cela, afin que vous héritiez la bénédiction.


Celui qui dit qu'il est en la lumière, et qui hait son frère, est dans les ténèbres jusqu'à cette heure.


Et c'est à cela que sont connus les enfants de Dieu, et les enfants du Diable. Quiconque ne fait pas ce qui est juste, et qui n'aime pas son frère n'est point de Dieu.


Si quelqu'un voit son frère pécher d'un péché qui n'est point à la mort, il priera pour lui, et Dieu lui donnera la vie ; savoir à ceux qui ne pèchent point à la mort. Il y a un péché à la mort ; je ne te dis point de prier pour ce péché-là.


Et néanmoins Michel l'Archange, quand il contestait disputant avec le Démon touchant le corps de Moïse, n'osa point prononcer de sentence de malédiction, mais il dit seulement : que le Seigneur te censure fortement !


Et la mort et l'enfer furent jetés dans l'étang de feu : c'est la mort seconde.


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