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Matthieu 25:35 - Martin 1744

35 Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

35 Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

35 Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

35 Car J'ai eu faim, et vous M'avez donné à manger ; J'ai eu soif, et vous M'avez donné à boire ; J'étais sans asile, et vous M'avez recueilli ;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

35 car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli ;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

35 Oui, j'étais affamé, et vous m'avez donné à manger; j'étais assoiffé, et vous m'avez donné à boire; métèque, vous m'avez accueilli;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Matthieu 25:35
52 Cross References  

Elle s'en alla pour en prendre ; et il la rappela, et lui dit : Je te prie, prends en ta main une bouchée de pain pour moi.


L'étranger n'a point passé la nuit dehors ; j'ai ouvert ma porte au passant.


Celui qui méprise son prochain s'égare ; mais celui qui a pitié des débonnaires, est bienheureux.


Celui qui fait tort au pauvre, déshonore celui qui l'a fait ; mais celui-là l'honore, qui a pitié du nécessiteux.


Celui qui a pitié du pauvre, prête à l'Eternel, et il lui rendra son bienfait.


L'oeil bénin sera béni, parce qu'il aura donné de son pain au pauvre.


Si celui qui te hait a faim, donne-lui à manger du pain ; et s'il a soif, donne-lui à boire de l'eau.


Et qu'il ne foule personne ; qu'il ne prenne point de gages ; qu'il ne ravisse point le bien d'autrui, qu'il donne de son pain à celui qui a faim, et qu'il couvre celui qui est nu ;


Et qui n'aura foulé personne, qui aura rendu le gage à son débiteur, qui n'aura point ravi le bien d'autrui, qui aura donné de son pain à celui qui avait faim, et qui aura couvert d'un vêtement celui qui était nu ;


C'est pourquoi ; ô Roi ! que mon conseil te soit agréable, et rachète tes péchés par la justice, et tes iniquités en faisant miséricorde aux pauvres ; voici, ce sera une prolongation à ta prospérité.


Ô homme ! Il t'a déclaré ce qui est bon ; et qu'est-ce que l'Eternel requiert de toi, sinon que tu fasses ce qui est juste, que tu aimes la bénignité, et que tu marches en toute humilité avec ton Dieu.


Et le Roi répondant, leur dira : en vérité je vous dis, qu'en tant que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, vous me l'avez fait à moi-même.


Parce que vous aurez toujours des pauvres avec vous ; mais vous ne m'aurez pas toujours.


Parce que vous aurez toujours des pauvres avec vous, et vous leur pourrez faire du bien toutes les fois que vous voudrez ; mais vous ne m'aurez pas toujours.


Mais plutôt donnez l'aumône de ce que vous avez, et voici, toutes choses vous seront nettes.


Car quelques-uns pensaient qu'à cause que Judas avait la bourse, Jésus lui eût dit : achète ce qui nous est nécessaire pour la Fête ; ou qu'il donnât quelque chose aux pauvres.


Et il me dit : Corneille, ta prière est exaucée, et Dieu s'est souvenu de tes aumônes.


Et les disciples, chacun selon son pouvoir, déterminèrent d'envoyer quelque chose pour subvenir aux frères qui demeuraient en Judée.


Et après qu'elle eut été baptisée, avec sa famille, elle nous pria, disant : Si vous m'estimez être fidèle au Seigneur, entrez dans ma maison, et y demeurez. Et elle nous y contraignit.


Or la multitude de ceux qui croyaient, n'était qu'un coeur et qu'une âme ; et nul ne disait d'aucune des choses qu'il possédait, qu'elle fût à lui ; mais toutes choses étaient communes entre eux.


Communiquant aux nécessités des Saints ; exerçant l'hospitalité.


Si donc ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire : car en faisant cela tu retireras des charbons de feu qui sont sur sa tête.


Gaïus mon hôte, et celui de toute l'Eglise, vous salue. Eraste le Procureur de la ville, vous salue, et Quartus notre frère.


Que celui qui dérobait, ne dérobe plus ; mais que plutôt il travaille en faisant de ses mains ce qui est bon ; afin qu'il ait de quoi donner à celui qui en a besoin.


Ayant le témoignage d'avoir fait de bonnes oeuvres, comme d'avoir nourri ses propres enfants, d'avoir logé les étrangers, d'avoir lavé les pieds des Saints, d'avoir secouru les affligés, et de s'être ainsi constamment appliquée à toutes sortes de bonnes oeuvres.


Car, mon frère, nous avons une grande joie et une grande consolation de ta charité, en ce que tu as réjoui les entrailles des Saints.


Or n'oubliez pas la bénéficence et de faire part de vos biens ; car Dieu prend plaisir à de tels sacrifices.


Car Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre oeuvre, et le travail de la charité que vous avez témoigné pour son Nom, en ce que vous avez secouru les Saints, et que vous les secourez encore.


La Religion pure et sans tache envers notre Dieu et notre Père, c'est de visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et de se conserver pur des souillures de ce monde.


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