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Matthieu 18:31 - Martin 1744

31 Or ses autres compagnons de service voyant ce qui était arrivé, en furent extrêmement touchés, et ils s'en vinrent, et déclarèrent à leur Seigneur tout ce qui s'était passé.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

31 Ce que voyant, les autres serviteurs en furent tout contristés, et ils vinrent raconter à leur maître ce qui s'était passé.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

31 Ses compagnons, ayant vu ce qui était arrivé, furent profondément attristés, et ils allèrent raconter à leur maître tout ce qui s'était passé.

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FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

31 Les autres serviteurs, ayant vu ce qui était arrivé, en furent vivement attristés, et ils allèrent raconter à leur maître tout ce qui s'était passé.

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Bible Darby en français

31 Or ceux qui étaient esclaves avec lui, voyant ce qui était arrivé, furent extrêmement affligés, et s’en vinrent et déclarèrent à leur seigneur tout ce qui s’était passé.

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Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

31 Ses co-serviteurs voient ce qui est advenu et s'attristent fort. Ils viennent et informent leur Adôn de tout ce qui est advenu.

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Matthieu 18:31
16 Cross References  

Ce sont ici les générations de Jacob. Joseph âgé de dix-sept ans, paissait avec ses frères les troupeaux, et il était jeune garçon entre les enfants de Bilha, et entre les enfants de Zilpa, femmes de son père. Et Joseph rapporta à leur père leurs méchants discours.


Mes yeux se sont fondus en ruisseaux d'eau, parce qu'on n'observe point ta Loi.


J'ai jeté les yeux sur les perfides et j'ai été rempli de tristesse de ce qu'ils n'observaient point ta parole.


Plût à Dieu que ma tête fût comme un réservoir d'eau, et que mes yeux fussent une vive fontaine de larmes, et je pleurerais jour et nuit les blessés à mort de la fille de mon peuple !


Et le roi en fut marri ; mais à cause des serments, et de ceux qui étaient à table avec lui, il commanda qu'on la lui donnât.


Mais ce serviteur étant sorti, rencontra un de ses compagnons de service, qui lui devait cent deniers ; et l'ayant pris, il l'étranglait, en lui disant : paye-moi ce que tu me dois.


Mais il n'en voulut rien faire ; et il s'en alla, et le mit en prison, jusqu'à ce qu'il eût payé la dette.


Alors son Seigneur le fit venir, et lui dit : méchant serviteur, je t'ai quitté toute cette dette, parce que tu m'en as prié ;


Alors les regardant de tous côtés avec indignation, et étant tout ensemble affligé de l'endurcissement de leur coeur, il dit à cet homme : étends ta main ; et il l'étendit ; et sa main fut rendue saine comme l'autre.


Ainsi le serviteur s'en retourna, et rapporta ces choses à son maître. Alors le père de famille tout en colère, dit à son serviteur : va-t'en promptement dans les places et dans les rues de la ville, et amène ici les pauvres, et les impotents, et les boiteux et les aveugles.


Et quand il fut proche, voyant la ville, il pleura sur elle, en disant :


Soyez en joie avec ceux qui sont en joie ; et pleurez avec ceux qui pleurent.


Je le dis avec honte, même comme si nous avions été sans aucune force ; mais si en quelque chose quelqu'un ose se glorifier (je parle en imprudent) j'ai la même hardiesse.


Obéissez à vos Conducteurs, et soyez-leur soumis, car ils veillent pour vos âmes, comme devant en rendre compte ; afin que ce qu'ils en font, ils le fassent avec joie, et non pas à regret ; car cela ne vous tournerait pas à profit.


Souvenez-vous des prisonniers, comme si vous étiez emprisonnés avec eux ; et de ceux qui sont maltraités, comme étant vous-mêmes du même Corps.


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