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Matthieu 18:28 - Martin 1744

28 Mais ce serviteur étant sorti, rencontra un de ses compagnons de service, qui lui devait cent deniers ; et l'ayant pris, il l'étranglait, en lui disant : paye-moi ce que tu me dois.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

28 Le serviteur, à peine sorti, rencontra un de ses compagnons qui lui devait cent deniers. Le saisissant à la gorge, il l'étouffait en disant: Paie ce que tu dois.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

28 Après qu'il fut sorti, ce serviteur rencontra un de ses compagnons qui lui devait cent deniers. Il le saisit et l'étranglait, en disant: Paie ce que tu me dois.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

28 Mais ce serviteur, étant sorti, trouva un de ses compagnons qui lui devait cent deniers, et le saisissant, il l'étouffait en disant : Rends-moi ce que tu me dois.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

28 Mais cet esclave, étant sorti, trouva un de ceux qui étaient esclaves avec lui, qui lui devait 100 deniers ; et l’ayant saisi, il l’étranglait, disant : Paie, si tu dois quelque chose.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

28 Ce serviteur sort. Il rencontre un de ses co-serviteurs, qui lui doit cent deniers. Il le saisit à la gorge à le faire suffoquer et dit : 'Rends ce que tu dois'.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Matthieu 18:28
15 Cross References  

Et de ne prendre rien le jour du Sabbat, ou tel autre jour sanctifié, des peuples du pays, qui apportent des marchandises, et toutes sortes de denrées le jour du Sabbat, pour les vendre ; et d'abandonner la septième année, avec tout le droit d'exiger ce qui est dû.


Et je consultai en moi-même ; puis je censurai les principaux et les magistrats, et je leur dis : Vous exigez rigoureusement ce que chacun de vous a imposé à son frère ; et je fis convoquer contre eux la grande assemblée.


L'homme qui est pauvre, et qui opprime les chétifs, est comme une pluie, qui faisant du ravage cause la disette du pain.


Pourquoi avons-nous jeûné, et tu n'y as point eu d'égard ? pourquoi avons-nous affligé nos âmes, et tu ne t'en es point soucié ? Voici, au jour de votre jeûne vous trouvez votre volonté, et vous exigez tout ce en quoi vous tourmentez les autres.


Ainsi a dit le Seigneur l'Eternel : Princes d'Israël, qu'il vous suffise ; ôtez la violence et le pillage, et faites jugement et justice ; ôtez vos extorsions de dessus mon peuple, dit le Seigneur l'Eternel.


Alors le Seigneur de ce serviteur, touché de compassion, le relâcha, et lui quitta la dette.


Mais son compagnon de service se jetant à ses pieds, le priait, en disant : aie patience, et je te rendrai le tout.


Et quand il eut accordé avec les ouvriers à un denier par jour, il les envoya à sa vigne.


Car il pouvait être vendu plus de trois cents deniers, et être donné aux pauvres. Ainsi ils murmuraient contre elle.


Et il leur répondit, et dit : donnez-leur vous-mêmes à manger. Et ils lui dirent : irions-nous acheter pour deux cents deniers de pain, afin de leur donner à manger ?


Et le lendemain en partant il tira de sa bourse deux deniers, et les donna à l'hôte, en lui disant : aie soin de lui ; et tout ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour.


Un créancier avait deux débiteurs : l'un lui devait cinq cents deniers, et l'autre cinquante.


Philippe lui répondit : quand nous aurions pour deux cents deniers de pain, cela ne leur suffirait point, quoique chacun d'eux n'en prît que tant soit peu.


Et c'est ici la manière de célébrer l'année de relâche. Que tout homme ayant droit d'exiger quelque chose que ce soit, qu'il puisse exiger de son prochain, donnera relâche, et ne l'exigera point de son prochain ni de son frère, quand on aura proclamé le relâche, en l'honneur de l'Eternel.


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