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Luc 7:38 - Martin 1744

38 Et se tenant derrière à ses pieds, et pleurant, elle se mit à les arroser de ses larmes, et elle les essuyait avec ses propres cheveux, et lui baisait les pieds, et les oignait de cette huile odoriférante.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


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Bible catholique Crampon 1923

38 et se tenant derrière lui, à ses pieds, tout en pleurs, elle se mit à les arroser de ses larmes et à les essuyer avec les cheveux de sa tête, et elle les baisait et les oignait de parfum.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

38 et se tint derrière, aux pieds de Jésus. Elle pleurait; et bientôt elle lui mouilla les pieds de ses larmes, puis les essuya avec ses cheveux, les baisa, et les oignit de parfum.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

38 et se tenant derrière lui, à ses pieds, elle se mit à arroser ses pieds de ses larmes, et elle les essuyait avec les cheveux de sa tête, et elle baisait ses pieds et les oignait de parfum.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

38 et se tenant derrière à ses pieds, et pleurant, elle se mit à les arroser de ses larmes, et elle les essuyait avec les cheveux de sa tête, et couvrait ses pieds de baisers, et les oignait avec le parfum.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

38 Elle se tient en arrière et pleure à ses pieds. De ses larmes, elle commence à lui humecter les pieds. Elle les essuie avec les cheveux de sa tête. Elle se penche, embrasse ses pieds et les messie de parfum.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Luc 7:38
25 Cross References  

Qu'on prenne, je vous prie, un peu d'eau, et lavez vos pieds, et reposez-vous sous un arbre ;


Et comme Esdras priait, et faisait cette confession, pleurant, et étant prosterné en terre devant la maison de Dieu, une fort grande multitude d'hommes, et de femmes, et d'enfants de ceux d'Israël, s'assembla vers lui ; et le peuple pleura abondamment.


Quand je suis prêt à clocher ; et que ma douleur est continuellement devant moi ;


Seigneur, ouvre mes lèvres, et ma bouche annoncera ta louange.


Que tes vêtements soient blancs en tout temps, et que le parfum ne manque point sur ta tête.


A cause de l'odeur de tes excellents parfums, ton nom est comme un parfum répandu : c'est pourquoi les filles t'ont aimé.


Tu as voyagé vers le Roi avec des onguents précieux, et tu as ajouté parfums sur parfums ; tu as envoyé tes ambassades bien loin, et tu t'es abaissée jusqu'aux enfers.


Pour annoncer à ceux de Sion qui mènent deuil, que la magnificence leur sera donnée au lieu de la cendre ; l'huile de joie au lieu du deuil ; le manteau de louange au lieu de l'esprit d'accablement ; tellement qu'on les appellera les chênes de la justice, et la plante de l'Eternel, pour s'y glorifier.


Ils y seront allés en pleurant, mais je les ferai retourner avec des supplications, et je les conduirai aux torrents d'eaux, et par un droit chemin, auquel ils ne broncheront point ; car j'ai été pour père à Israël, et Ephraïm est mon premier-né.


Maintenant donc aussi, dit l'Eternel, retournez-vous jusqu'à moi de tout votre coeur, avec jeûne, avec larmes, et lamentation.


Et je répandrai sur la maison de David, et sur les habitants de Jérusalem, l'Esprit de grâce et de supplications ; et ils regarderont vers moi, qu'ils auront percé, et ils en mèneront deuil, comme quand on mène deuil d'un fils unique, et ils en seront en amertume, comme quand on est en amertume à cause d'un premier-né.


Bienheureux sont ceux qui pleurent ; car ils seront consolés.


Alors Pierre étant sorti dehors, pleura amèrement.


Vous êtes bienheureux, vous qui maintenant avez faim ; car vous serez rassasiés. Vous êtes bienheureux, vous qui pleurez maintenant ; car vous serez dans la joie.


Et voici, il y avait dans la ville une femme de mauvaise vie, qui ayant su que Jésus était à table dans la maison du Pharisien, apporta un vase d'albâtre plein d'une huile odoriférante.


Mais le Pharisien qui l'avait convié, voyant cela, dit en soi-même : si celui-ci était Prophète, certes il saurait qui et quelle est cette femme qui le touche : car c'est une femme de mauvaise vie.


Et Marie était celle qui oignit le Seigneur d'une huile odoriférante, et qui essuya ses pieds de ses cheveux ; et Lazare qui était malade, était son frère.


Sentez vos misères, et lamentez, et pleurez ; que votre ris se change en pleurs, et votre joie en tristesse.


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