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Luc 7:12 - Martin 1744

12 Et comme il approchait de la porte de la ville, voici, on portait dehors un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve ; et une grande troupe de la ville était avec elle.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

12 Comme il arrivait près de la porte de la ville, il se trouva qu'on emportait un mort, fils unique de sa mère, et celle-ci était veuve, et beaucoup de gens de la ville l'accompagnaient.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

12 Lorsqu'il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

12 Et comme il approchait de la porte de la ville, voici qu'on emportait un mort, fils unique de sa mère, et celle-ci était veuve ; et il y avait avec elle beaucoup de personnes de la ville.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

12 Et comme il approchait de la porte de la ville, voici, on portait dehors un mort, fils unique de sa mère, et elle était veuve ; et une foule considérable de la ville était avec elle.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

12 Il approche de la porte de la ville, et voici: ils emportent un mort, le fils unique de sa mère, qui était veuve. Auprès d'elle il y avait une foule importante de la ville.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Luc 7:12
20 Cross References  

Et il lui dit : Ne mets point ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien ; car maintenant j'ai connu que tu crains Dieu, puisque tu n'as point épargné pour moi ton fils, ton unique.


Et Dieu lui dit : Prends maintenant ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, et t'en va au pays de Morijah, et l'offre là en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai.


Et voici, toute la famille s'est élevée contre ta servante, en disant : Donne-nous celui qui a frappé son frère, afin que nous le mettions à mort, à cause de la vie de son frère qu'il a tué ; et que nous exterminions même l'héritier ; et ils veulent ainsi éteindre le charbon vif qui m'est resté, afin qu'ils ne laissent point de nom à mon mari, et qu'ils ne me laissent aucun de reste sur la terre.


Mais elle répondit : L'Eternel ton Dieu est vivant, que je n'ai aucun gâteau ; je n'ai que pleine ma main de farine dans une cruche, et un peu d'huile dans une fiole, et voici j'amasse deux bûches, puis je m'en irai, et je l'apprêterai pour moi et pour mon fils, et nous le mangerons ; et après cela nous mourrons.


Et elle dit à Elie : Qu'y a-t-il entre moi et toi, homme de Dieu ? Es-tu venu chez moi pour rappeler en mémoire mon iniquité, et pour faire mourir mon fils ?


Et Elie prit l'enfant, et le fit descendre de la chambre haute dans la maison, et le donna à sa mère, en lui disant : Regarde, ton fils vit.


Lève-toi, et t'en va à Sarepta, qui est près de Sidon, et demeure-là. Voici, j'ai commandé là à une femme veuve de t'y nourrir.


Et il lui dit : L'année qui vient, et en cette même saison, tu embrasseras un fils. Et elle répondit : Mon seigneur, homme de Dieu, ne mens point, ne mens point à ta servante !


Il le porta donc et l'amena à sa mère, et il demeura sur ses genoux jusqu'à midi, puis il mourut.


La bénédiction de celui qui s'en allait périr, venait sur moi, et je faisais que le coeur de la veuve chantait de joie.


Et je répandrai sur la maison de David, et sur les habitants de Jérusalem, l'Esprit de grâce et de supplications ; et ils regarderont vers moi, qu'ils auront percé, et ils en mèneront deuil, comme quand on mène deuil d'un fils unique, et ils en seront en amertume, comme quand on est en amertume à cause d'un premier-né.


Et le jour d'après il arriva que Jésus allait à une ville nommée Naïn, et plusieurs de ses disciples et une grosse troupe allaient avec lui.


Et quand le Seigneur l'eut vue, il fut touché de compassion envers elle ; et il lui dit : ne pleure point.


Car il avait une fille unique, âgée d'environ douze ans, qui se mourait ; et comme il s'en allait, les troupes le pressaient.


Or ils la pleuraient tous, et de douleur ils se frappaient la poitrine ; mais il leur dit : ne pleurez point, elle n'est pas morte, mais elle dort.


Et plusieurs des Juifs étaient venus vers Marthe et Marie pour les consoler au sujet de leur frère.


Et Pierre s'étant levé, s'en vint avec eux ; et quand il fut arrivé, ils le menèrent en la chambre haute ; et toutes les veuves se présentèrent à lui en pleurant, et montrant combien Dorcas faisait de robes et de vêtements, quand elle était avec elles.


Et il lui donna la main, et la leva ; puis ayant appelé les Saints et les veuves, il la leur présenta vivante.


La Religion pure et sans tache envers notre Dieu et notre Père, c'est de visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et de se conserver pur des souillures de ce monde.


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