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Luc 23:2 - Martin 1744

2 Et ils se mirent à l'accuser, disant : nous avons trouvé cet homme sollicitant la nation à la révolte, et défendant de donner le tribut à César, et se disant être le Christ, le Roi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

2 et ils se mirent à l'accuser, en disant: "Nous avons trouvé cet homme qui poussait notre nation à la révolte, et défendait de payer les tributs à César, se disant lui-même le Christ roi."

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

2 Ils se mirent à l'accuser, disant: Nous avons trouvé cet homme excitant notre nation à la révolte, empêchant de payer le tribut à César, et se disant lui-même Christ, roi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

2 Et ils commencèrent à l'accuser, en disant : Nous avons trouvé cet homme pervertissant notre nation, empêchant de payer le tribut à César, et se disant le Christ-roi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

2 Et ils se mirent à l’accuser, disant : Nous avons trouvé cet homme pervertissant notre nation et défendant de donner le tribut à César, se disant lui-même être le Christ, un roi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

2 Ils commencent à l'accuser et disent: "Celui-là, nous l'avons trouvé à pervertir notre nation. Il l'empêche de donner les taxes à Caesar, se disant lui-même messie-roi."

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Luc 23:2
33 Cross References  

Et aussitôt qu'Achab eut vu Elie, il lui dit : N'es-tu pas celui qui trouble Israël ?


Des témoins violents s'élèvent contre moi, on me redemande des choses dont je ne sais rien.


Jusques à quand machinerez-vous des maux contre un homme ? Vous serez tous mis à mort, et vous serez comme le mur qui penche, et comme une cloison qui a été ébranlée.


Car j'ai ouï les insultes de plusieurs, la frayeur m'a saisi de tous côtés. Rapportez, disent-ils, et nous le rapporterons. Tous ceux qui ont paix avec moi épient si je bronche, et disent : peut-être qu'il sera abusé ; alors nous aurons le dessus, et nous nous vengerons de lui.


Et les principaux dirent au Roi : qu'on fasse mourir cet homme ; car par ce moyen il rend lâches les mains des hommes de guerre qui sont demeurés de reste dans cette ville, et les mains de tout le peuple, en leur disant de telles paroles ; parce que cet homme ne cherche point la prospérité de ce peuple, mais le mal.


Alors Amatsia, Sacrificateur de Béthel, envoya dire à Jéroboam Roi d'Israël : Amos a conspiré contre toi au milieu de la maison d'Israël ; le pays ne pourrait pas porter toutes ses paroles.


Et je supprimai trois pasteurs en un mois, car mon âme s'est ennuyée d'eux, et aussi leur âme s'était dégoûtée de moi.


Mais afin que nous ne les scandalisions point, va-t'en à la mer, et jette l'hameçon, et prends le premier poisson qui montera ; et quand tu lui auras ouvert la bouche, tu y trouveras un statère ; prends-le, et le leur donne pour moi et pour toi.


Ils lui répondirent : de César. Alors il leur dit : rendez donc à César les choses qui sont à César, et à Dieu, celles qui sont à Dieu.


Or Jésus fut présenté devant le Gouverneur, et le Gouverneur l'interrogea, disant : es-tu le Roi des Juifs ? Jésus lui répondit : tu le dis.


Et Jésus répondant leur dit : rendez à César les choses qui sont à César, et à Dieu celles qui sont à Dieu ; et ils en furent étonnés.


Et Pilate l'interrogea, disant : es-tu le Roi des Juifs ? Et Jésus répondant lui dit : tu le dis.


Vous m'avez présenté cet homme comme soulevant le peuple ; et voici, l'en ayant fait répondre devant vous, je n'ai trouvé en cet homme aucun de ces crimes dont vous l'accusez ;


Mais ils insistaient encore davantage, disant : il émeut le peuple, enseignant par toute la Judée, et ayant commencé depuis la Galilée jusques ici.


C'est pourquoi Pilate sortit vers eux, et leur dit : quelle accusation portez-vous contre cet homme ?


Ils répondirent, et lui dirent : si ce n'était pas un criminel, nous ne te l'eussions pas livré.


Depuis cela Pilate tâchait à le délivrer ; mais les Juifs criaient, en disant : si tu délivres celui-ci tu n'es point ami de César ; car quiconque se fait Roi, est contraire à César.


Et ils ne sauraient soutenir les choses dont ils m'accusent présentement.


Nous avons trouvé que c'est ici un homme fort dangereux, qui excite des séditions parmi tous les Juifs dans tout le monde, et qui est le chef de la secte des Nazariens.


Rendez donc à tous ce qui leur est dû : à qui le tribut, le tribut ; à qui le péage, le péage ; à qui crainte, la crainte ; à qui honneur, l'honneur.


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