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Luc 15:30 - Martin 1744

30 Mais quand celui-ci, ton fils, qui a mangé ton bien avec des femmes de mauvaise vie, est venu, tu lui as tué le veau gras.

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Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

30 Et quand cet autre fils, qui a dévoré ton bien avec des courtisanes, arrive, tu tues pour lui le veau gras!

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Français Bible Louis Segond - fls

30 Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras!

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FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

30 mais dès que cet autre fils, qui a dévoré son bien avec des femmes perdues, est revenu, tu as tué pour lui le veau gras.

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Bible Darby en français

30 mais quand celui-ci, ton fils, qui a mangé ton bien avec des prostituées, est venu, tu as tué pour lui le veau gras.

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Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

30 Et ton fils que voilà revient. Il a englouti ta fortune avec des putains, et tu immoles pour lui le veau gras!>

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Luc 15:30
10 Cross References  

Alors Moïse supplia l'Eternel son Dieu, et dit : ô Eternel, pourquoi ta colère s'embraserait-elle contre ton peuple, que tu as retiré du pays d'Egypte par une grande puissance, et par main forte ?


Alors l'Eternel dit à Moïse : va, descends ; car ton peuple que tu as fait monter du pays d'Egypte, s'est corrompu.


L'homme qui aime la sagesse, réjouit son père ; mais celui qui entretient les femmes débauchées, dissipe ses richesses.


Car tous y ont mis de leur superflu ; mais celle-ci y a mis de son indigence tout ce qu'elle avait, toute sa subsistance.


Mais il répondit, et dit à son père : voici, il y a tant d'années que je te sers, et jamais je n'ai transgressé ton commandement, et cependant tu ne m'as jamais donné un chevreau pour faire bonne chère avec mes amis.


Et le père lui dit : mon enfant, tu es toujours avec moi, et tous mes biens sont à toi.


Or il fallait faire bonne chère, et se réjouir, parce que celui-ci, ton frère, était mort, et il est ressuscité ; il était perdu, et il est retrouvé.


Le Pharisien se tenant à l'écart priait en lui-même en ces termes : ô Dieu ! je te rends grâces de ce que je ne suis point comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ni même comme ce péager.


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