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Luc 10:2 - Martin 1744

2 Et il leur disait : La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers ; priez donc le Seigneur de la moisson, qu'il pousse des ouvriers dans sa moisson.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

2 Il leur dit: "La moisson est grande, mais les ouvriers sont en petit nombre. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers à sa moisson.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

2 Il leur dit: La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

2 Et il leur disait : La moisson est grande, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

2 Il leur disait donc : La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers : suppliez donc le Seigneur de la moisson, en sorte qu’il pousse des ouvriers dans sa moisson.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

2 Il leur dit: "La moisson est abondante, mais rares les ouvriers. Aussi, implorez l'Adôn de la moisson, qu'il jette dehors des ouvriers pour sa moisson.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Luc 10:2
48 Cross References  

Alors Elie dit au peuple : Je suis demeuré seul Prophète de l'Eternel ; et les prophètes de Bahal sont au nombre de quatre cent cinquante.


Ton troupeau s'y est tenu. Tu accommodes de tes biens celui qui est affligé, ô Dieu !


Et je vous donnerai des pasteurs selon mon coeur, qui vous paîtront de science et d'intelligence.


Malheur au pasteur inutile, qui abandonne le troupeau ; L'épée sera sur son bras, et sur son oeil droit ; son bras séchera certainement, et son oeil droit sera entièrement obscurci.


Que leurs possesseurs tuent, sans qu'on les en tienne pour coupables, et chaque vendeur desquelles dit : Béni soit l'Eternel, je suis enrichi : Et, pas un de leurs pasteurs ne les épargne.


Puis je descendrai, et je parlerai là avec toi, et je mettrai à part de l'Esprit qui est sur toi, et je le mettrai sur eux ; afin qu'ils portent avec toi la charge du peuple, et que tu ne la portes point toi seul.


Et Moïse lui répondit : Es-tu jaloux pour moi ? Plût à Dieu que tout le peuple de l'Eternel fût Prophète, et que l'Eternel mît son Esprit sur eux !


Car le Royaume des cieux est semblable à un père de famille, qui sortit dès le point du jour afin de louer des ouvriers pour sa vigne.


C'est comme si un homme allant dehors, et laissant sa maison, donnait de l'emploi à ses serviteurs, et à chacun sa tâche, et qu'il commandât au portier de veiller.


Et il leur dit : allez par tout le monde, et prêchez l'Evangile à toute créature.


Et eux étant partis prêchèrent partout ; et le Seigneur coopérait avec eux, et confirmait la parole par les prodiges qui l'accompagnaient.


Puis Jésus ayant assemblé ses douze Disciples, leur donna puissance et autorité sur tous les démons, et le pouvoir de guérir les malades.


Or quant à ceux qui avaient été dispersés par la persécution excitée à l'occasion d'Etienne, ils passèrent jusqu'en Phénicie, et en Cypre, et à Antioche, sans annoncer la parole à personne qu'aux Juifs seulement.


Et comme ils servaient le Seigneur dans leur ministère, et qu'ils jeûnaient, le Saint-Esprit dit : séparez-moi Barnabas et Saul, pour l'oeuvre à laquelle je les ai appelés.


Eux donc étant envoyés par le Saint-Esprit, descendirent en Séleucie, et de là ils naviguèrent en Cypre.


Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis Evêques, pour paître l'Eglise de Dieu, laquelle il a acquise par son propre sang.


Mais il me dit : va, car je t'enverrai loin vers les Gentils.


Ceux donc qui furent dispersés allaient çà et là annonçant la parole de Dieu.


Et Dieu a mis dans l'Eglise, d'abord des Apôtres, ensuite des Prophètes, en troisième lieu des Docteurs, ensuite les miracles, puis les dons de guérisons, les secours, les gouvernements, les diversités de Langues.


Mais par la grâce de Dieu je suis ce que je suis ; et sa grâce envers moi n'a point été vaine, mais j'ai travaillé beaucoup plus qu'eux tous ; toutefois non point moi, mais la grâce de Dieu qui est avec moi.


Ainsi donc étant ouvriers avec lui, nous vous prions aussi que vous n'ayez point reçu la grâce de Dieu en vain.


Parce que tous cherchent leur intérêt particulier, et non les intérêts de Jésus-Christ.


Mais j'ai cru nécessaire de vous envoyer Epaphrodite mon frère, mon compagnon d'oeuvre et mon compagnon d'armes, qui aussi m'a été envoyé de votre part pour me fournir ce dont j'ai eu besoin.


Car il a été proche de la mort pour l'oeuvre de Christ, n'ayant eu aucun égard à sa propre vie, afin de suppléer au défaut de votre service envers moi.


A quoi aussi je travaille, en combattant selon son efficace, qui agit puissamment en moi.


Epaphras, qui est des vôtres, Serviteur de Christ, vous salue, combattant toujours pour vous par ses prières, afin que vous demeuriez parfaits et accomplis en toute la volonté de Dieu.


Car, mes frères, vous vous souvenez de notre peine et de notre travail ; vu que nous vous avons prêché l'Evangile de Dieu, en travaillant nuit et jour, pour n'être point à charge à aucun de vous.


Or, mes frères, nous vous prions de reconnaître ceux qui travaillent parmi vous, et qui président sur vous en notre Seigneur, et qui vous exhortent ;


Au reste, mes frères, priez pour nous, afin que la parole du Seigneur ait son cours, et qu'elle soit glorifiée comme elle l'est parmi vous ;


Car c'est aussi pour cela que nous travaillons, et que nous sommes en opprobre, vu que nous espérons au Dieu vivant, qui est le conservateur de tous les hommes, mais principalement des fidèles.


Mais toi, veille en toutes choses, souffre les afflictions, fais l'oeuvre d'un Evangéliste, rends ton Ministère pleinement approuvé.


Paul, prisonnier de Jésus-Christ, et le frère Timothée, à Philémon notre bien-aimé, et Compagnon d'oeuvre ;


Mais Christ comme Fils est sur sa maison ; et nous sommes sa maison, pourvu que nous retenions ferme jusques à la fin l'assurance, et la gloire de l'espérance.


Ecris à l'Ange de l'Eglise d'Ephèse : celui qui tient les sept étoiles en sa main droite, et qui marche au milieu des sept chandeliers d'or, dit ces choses :


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