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Jérémie 8:21 - Martin 1744

21 Je suis amèrement affligé à cause de la calamité de la fille de mon peuple, j'en suis en deuil, j'en suis tout désolé.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

21 Je suis meurtri de la meurtrissure de la fille de mon peuple; je suis dans le deuil; l'épouvante m'a saisi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

21 Je suis brisé par la douleur de la fille de mon peuple, Je suis dans la tristesse, l'épouvante me saisit.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

21 A cause de la plaie (du brisement) de la fille de mon peuple je suis brisé et attristé ; l'épouvante (la stupeur) m'a saisi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

21 Je suis brisé de la ruine de la fille de mon peuple ; je mène deuil, l’épouvante m’a saisi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

21 Du brisement de la fille-de-mon-peuple je suis brisé, assombri; la désolation me saisit.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Jérémie 8:21
14 Cross References  

Et je répondis au Roi : Que le Roi vive éternellement ! Comment mon visage ne serait-il pas mauvais, puisque la ville qui est le lieu des sépulcres de mes pères, demeure désolée, et que ses portes ont été consumées par le feu ?


Tu leur diras donc cette parole-ci : que mes yeux se fondent en larmes nuit et jour, et qu'ils ne cessent point ; car la vierge, fille de mon peuple, a été fort maltraitée, la plaie en est fort douloureuse.


La Judée a mené deuil, et ses portes sont en un pitoyable état. Ils sont tous en deuil gisant par terre, et le cri de Jérusalem est monté au ciel.


Mais je ne me suis point avancé plus qu'un pasteur après toi, et je n'ai point désiré le jour de l'extrême affliction, tu le sais ; et ce qui est sorti de mes lèvres a été devant toi.


Mon ventre ! mon ventre ! je suis dans la douleur ; le dedans de mon coeur, mon coeur me bat, je ne me puis taire ; car ô mon âme ! tu as ouï le son du cor, et le retentissement bruyant de l'alarme.


La moisson est passée ; l'Eté est fini, et nous n'avons point été délivrés.


Plût à Dieu que ma tête fût comme un réservoir d'eau, et que mes yeux fussent une vive fontaine de larmes, et je pleurerais jour et nuit les blessés à mort de la fille de mon peuple !


Aleph. Je suis l'homme qui ai vu l'affliction par la verge de sa fureur.


Les peuples trembleront en le voyant ; tous les visages en deviendront pâles et livides.


Qu'elle soit toute vidée et revidée, même tout épuisée ; que leur coeur se fonde, que leurs genoux se heurtent l'un contre l'autre ; que le tourment soit dans les reins de tous, et que leurs visages deviennent noirs comme un pot qui a été mis sur le feu.


Et quand il fut proche, voyant la ville, il pleura sur elle, en disant :


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