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Jérémie 5:5 - Martin 1744

5 Je m'en irai donc aux plus grands, et je leur parlerai ; car ceux-là connaissent la voie de l'Eternel, le droit de leur Dieu ; mais ceux-là mêmes ont aussi brisé le joug, et ont rompu les liens.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


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Bible catholique Crampon 1923

5 J'irai donc vers les grands et je leur parlerai; car eux, ils savent la voie de Yahweh, La loi de leur Dieu... Mais eux aussi, ils ont tous ensemble brisé le joug, Rompu les liens!

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

5 J'irai vers les grands, et je leur parlerai; Car eux, ils connaissent la voie de l'Éternel, La loi de leur Dieu; Mais ils ont tous aussi brisé le joug, Rompu les liens.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

5 J'irai donc auprès des grands, et je leur parlerai, car eux ils connaissent (ont connu) la voie du Seigneur et la loi (le jugement) de leur Dieu ; mais voici que tous ensemble ils ont encore plus brisé le joug et rompu les liens.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

5 Je m’en irai vers les grands, et je leur parlerai ; car eux, ils connaissent la voie de l’Éternel, le jugement de leur Dieu  ; mais ceux-ci, tous ensemble, ont brisé le joug, rompu les liens.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

5 J'irai, moi, vers les grands; je leur parlerai. Oui, ils pénétreront la route de IHVH-Adonaï, le jugement de leur Elohîms." Mais ensemble ils ont brisé le joug, ils ont désagrégé les liens.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Jérémie 5:5
25 Cross References  

Pareillement tous les principaux des Sacrificateurs, et le peuple, continuèrent de plus en plus à pécher grièvement, selon toutes les abominations des nations ; et souillèrent la maison que l'Eternel avait sanctifiée dans Jérusalem.


Or Moïse vit que le peuple était dénué, car Aaron l'avait dénué pour être en opprobre parmi leurs ennemis.


Les Principaux de ton peuple sont revêches, et compagnons de larrons ; chacun d'eux aime les présents, ils courent après les récompenses ; ils ne font point droit à l'orphelin, et la cause de la veuve ne vient point devant eux.


Parce que depuis longtemps j'ai brisé ton joug, et rompu tes liens, tu as dit : je ne serai plus dans la servitude ; c'est pourquoi tu as erré en te prostituant sur toute haute colline, et sous tout arbre vert.


Ô race ! considérez vous-mêmes la parole de l'Eternel, qui dit : Ai-je été un désert à Israël ? ai-je été une terre toute ténébreuse ? Pourquoi mon peuple a-t-il dit : nous sommes les maîtres ; nous ne viendrons plus à toi ?


Tous tes amoureux t'ont oubliée, ils ne te cherchent point ; car je t'ai frappée d'une plaie d'ennemi, d'un châtiment d'homme cruel, à cause de la grandeur de tes iniquités ; tes péchés se sont renforcés.


Parce que depuis le plus petit d'entre eux jusques au plus grand, chacun s'adonne au gain déshonnête, tant le Prophète que le Sacrificateur, tous se portent faussement.


Même la cigogne a connu dans les cieux ses saisons, la tourterelle et l'hirondelle, et la grue, ont pris garde au temps qu'elles doivent venir ; mais mon peuple n'a point connu le droit de l'Eternel.


Ils ont tendu leur langue, qui leur a été comme leur arc pour décocher le mensonge, et ils se sont renforcés dans la terre contre la fidélité, parce qu'ils sont allés de malice en malice, et ne m'ont point reconnu, dit l'Eternel.


Et il me dit : fils d'homme, ceux-ci sont les hommes qui ont des pensées d'iniquité, et qui donnent un mauvais conseil dans cette ville ;


Ecoutez cette parole-ci, vaches de Basan, qui vous tenez dans la montagne de Samarie, qui faites tort aux chétifs, et qui opprimez les pauvres ; qui dites à leurs seigneurs : Apportez, et que nous buvions.


Hola ! vous qui êtes à votre aise en Sion, et vous qui vous confiez en la montagne de Samarie, lieux les plus renommés d'entre les principaux des nations, auxquels va la maison d'Israël.


Ses Chefs jugent pour des présents, ses Sacrificateurs enseignent pour le salaire, et ses prophètes devinent pour de l'argent, puis ils s'appuient sur l'Eternel, en disant : L'Eternel n'est-il pas parmi nous ? Il ne viendra point de mal sur nous.


Car les lèvres du Sacrificateur gardaient la science, et on recherchait la Loi de sa bouche, parce qu'il était le messager de l'Eternel des armées.


Et Jésus voyant qu'il était devenu fort triste, dit : qu'il est malaisé que ceux qui ont des biens entrent dans le Royaume de Dieu !


Or ses citoyens le haïssaient : c'est pourquoi ils envoyèrent après lui une députation, pour dire : nous ne voulons pas que celui-ci règne sur nous.


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