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Jérémie 4:11 - Martin 1744

11 En ce temps-là on dira à ce peuple, et à Jérusalem : un vent éclaircissant les lieux élevés souffle au désert, dans le chemin de la fille de mon peuple, non pas pour vanner ni pour nettoyer :

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

11 En ce temps-là, on dira à ce peuple et à Jérusalem: Un vent brûlant vient des collines du désert sur le chemin qui mène à la fille de mon peuple, non pour vanner, ni pour nettoyer;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

11 En ce temps-là, il sera dit à ce peuple et à Jérusalem: Un vent brûlant souffle des lieux élevés du désert Sur le chemin de la fille de mon peuple, Non pour vanner ni pour nettoyer le grain.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

11 En ce temps-là, on dira à ce peuple et à Jérusalem : Un vent brûlant souffle (s'élève) dans les routes (voies) du désert, dans la route (voie) de la fille de mon peuple, non pour vanner et pour nettoyer (le blé).

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

11 En ce temps-là, il sera dit à ce peuple et à Jérusalem : Un vent sec [vient] des hauteurs du désert, dans le chemin de la fille de mon peuple, non pour vanner, ni pour purifier.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

11 En ce temps il sera dit à ce peuple et à Ieroushalaîm: "Un souffle brûlant vient des dénudations, du désert, en route, fille de mon peuple, non pour vanner, non pour cribler.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Jérémie 4:11
28 Cross References  

Il fera pleuvoir sur les méchants des filets, du feu, et du souffre ; et un vent de tempête sera la portion de leur breuvage.


C'est pourquoi j'ai dit ; retirez-vous de moi, je pleurerai amèrement. Ne vous empressez point de me consoler touchant le dégât de la fille de mon peuple.


Tu plaideras avec elle modérément, quand tu la renverras ; même quand il ferait retentir son vent rude, au jour du vent d'Orient.


Tu les vanneras, et le vent les emportera, et le tourbillon les dispersera ; mais tu t'égayeras en l'Eternel, tu te glorifieras au Saint d'Israël.


Or nous sommes tous devenus comme une chose souillée, et toutes nos justices sont comme le linge le plus souillé ; nous sommes tous tombés comme la feuille, et nos iniquités nous ont transportés comme le vent.


C'est pourquoi je les disperserai comme du chaume, qui est emporté ça et là par le vent du désert.


Tu leur diras donc cette parole-ci : que mes yeux se fondent en larmes nuit et jour, et qu'ils ne cessent point ; car la vierge, fille de mon peuple, a été fort maltraitée, la plaie en est fort douloureuse.


Voici la tempête de l'Eternel, sa fureur va se montrer, et le tourbillon prêt à fondre tombera sur la tête des méchants.


Un vent plus véhément que ceux-là viendra à moi, et je leur ferai maintenant leur procès.


Voici la voix du cri de la fille de mon peuple qui crie d'un pays éloigné ; l'Eternel n'est-il point en Sion ? son Roi n'est-il point au milieu d'elle ? Mais pourquoi m'ont-ils irrité par leurs images taillées, par les vanités de l'étranger ?


Plût à Dieu que ma tête fût comme un réservoir d'eau, et que mes yeux fussent une vive fontaine de larmes, et je pleurerais jour et nuit les blessés à mort de la fille de mon peuple !


C'est pourquoi ainsi a dit l'Eternel des armées : voici, je m'en vais les fondre, et je les éprouverai ; car comment en agirais-je autrement à l'égard de la fille de mon peuple ?


Caph. Mes yeux sont consumés à force de larmes, mes entrailles bruient, mon foie s'est répandu en terre, à cause de la plaie de la fille de mon peuple, parce que les petits enfants et ceux qui têtaient sont pâmés dans les places de la ville.


Mon oeil s'est fondu en ruisseaux d'eaux à cause de la plaie de la fille de mon peuple.


Jod. Les mains des femmes, naturellement tendres, ont cuit leurs enfants, et ils leur ont été pour viande dans le temps de la calamité de la fille de mon peuple.


Guimel. Il y a même des monstres marins qui présentent leurs mammelles et qui allaitent leurs petits ; mais la fille de mon peuple a à faire à des gens cruels, comme les chats-huants qui sont au désert.


Vau. Et la peine de l'iniquité de la fille de mon peuple est plus grande, que la peine du péché de Sodome, qui a été renversée comme en un moment, et à laquelle les mains ne sont point lassées.


Mais voici, quoique planté, viendra-t-il pourtant à bien ? Quand le vent d'Orient l'aura touché, ne séchera-t-il pas entièrement ? il séchera sur le terrain où il était planté.


Mais elle a été arrachée avec fureur, et jetée par terre ; et le vent d'Orient a séché son fruit ; ses verges fortes ont été rompues, et ont séché ; le feu les a consumées.


Quand il aura fructifié entre ses frères, le vent Oriental, le vent de l'Eternel montant du désert, viendra, et ses sources sécheront, et sa fontaine tarira, et on pillera le trésor de toutes les choses désirables.


C'est pourquoi ils seront comme la nuée du matin, et comme la rosée du matin, laquelle s'en va ; comme la balle qui est emportée hors de l'aire par le tourbillon ; et comme la fumée sortant de la cheminée.


Le vent l'a enserré dans ses ailes, et ils auront honte de leurs sacrifices.


Alors elle renforcera son courage, et passera outre, mais elle se rendra coupable, en disant que cette puissance qu'elle a est de son Dieu.


Car voici, je m'en vais susciter les Caldéens, qui sont une nation cruelle et impétueuse, marchant sur l'étendue de la terre, pour posséder des demeures qui ne lui appartiennent pas.


Il a son van en sa main, et il nettoiera entièrement son aire, et il assemblera son froment au grenier ; mais il brûlera la paille au feu qui ne s'éteint point.


Il a son van en sa main, et il nettoiera entièrement son aire, et assemblera le froment dans son grenier, mais il brûlera la paille au feu qui ne s'éteint point.


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