Jérémie 32:3 - Martin 17443 Car Sédécias Roi de Juda l'avait enfermé, et lui avait dit : pourquoi prophétises-tu ? en disant : ainsi a dit l'Eternel : voici, je m'en vais livrer cette ville en la main du Roi de Babylone, et il la prendra. Tan-awa ang kapituloDugang nga mga bersyonBible catholique Crampon 19233 Car Sédécias, roi de Juda, l'avait fait enfermer, en lui disant: "Pourquoi prophétises-tu en ces termes: Ainsi parle Yahweh: Voici que je livre cette ville aux mains du roi de Babylone, et il la prendra; Tan-awa ang kapituloFrançais Bible Louis Segond - fls3 Sédécias, roi de Juda, l'avait fait enfermer, et lui avait dit: Pourquoi prophétises-tu, en disant: Ainsi parle l'Éternel: Voici, je livre cette ville entre les mains du roi de Babylone, et il la prendra; Tan-awa ang kapituloFRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique3 Car Sédécias, roi de Juda, l'avait fait enfermer, en disant : Pourquoi prophétises-tu en disant : Ainsi parle le Seigneur : Voici, je livrerai cette ville entre les mains du roi de Babylone, et il la prendra ; (?) Tan-awa ang kapituloBible Darby en français3 où Sédécias, roi de Juda, l’avait enfermé, disant : Pourquoi prophétises-tu, disant : Ainsi dit l’Éternel : Voici, je livre cette ville en la main du roi de Babylone, et il la prendra ; Tan-awa ang kapituloFrançais-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni3 "Pourquoi as-tu été inspiré, pour dire: Ainsi dit IHVH-Adonaï: Me voici, je donne cette ville en main du roi de Babèl; il l'investira. Tan-awa ang kapitulo |
Et il arrivera que la nation et le Royaume qui ne se sera pas soumis à Nébucadnetsar, Roi de Babylone, et qui n'aura pas soumis son cou au joug du Roi de Babylone, je punirai cette nation-là, dit l'Eternel, par l'épée, et par la famine, et par la mortalité, jusqu'à ce que je les aie consumés par sa main.
Et les principaux dirent au Roi : qu'on fasse mourir cet homme ; car par ce moyen il rend lâches les mains des hommes de guerre qui sont demeurés de reste dans cette ville, et les mains de tout le peuple, en leur disant de telles paroles ; parce que cet homme ne cherche point la prospérité de ce peuple, mais le mal.