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Jérémie 20:7 - Martin 1744

7 Ô Eternel ! tu m'as sollicité, et j'ai été attiré ; tu as été plus fort que moi, et tu as eu le dessus ; je suis un objet de moquerie tout le jour, chacun se moque de moi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

7 Tu m'as séduit, Yahweh, et j'ai été séduit; Tu m'as saisi et tu as prévalu. Je suis chaque jour un objet de risée; tous se moquent de moi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

7 Tu m'as persuadé, Éternel, et je me suis laissé persuader; Tu m'as saisi, tu m'as vaincu. Et je suis chaque jour un objet de raillerie, Tout le monde se moque de moi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

7 Vous m'avez séduit, Seigneur, et j'ai été séduit ; vous avez été plus fort que moi, et vous avez vaincu ; je suis devenu un objet de risée tout le jour, tous m'insultent (me raillent).

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

7 Tu m’as entraîné, ô Éternel  ! et j’ai été entraîné ; tu m’as saisi, et tu as été le plus fort ; je suis un objet de dérision tout le jour, chacun se moque de moi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

7 Tu m'as séduit, IHVH-Adonaï, et je suis séduit! Tu m'as forcé, et tu l'as pu! Je suis une risée tout le jour; tous se moquent de moi.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Jérémie 20:7
32 Cross References  

Il monta de là à Bethel ; et comme il montait par le chemin, des petits garçons sortirent de la ville, et en se moquant de lui, ils lui disaient : Monte chauve, monte chauve.


Je suis un homme qui est en risée à son ami, mais qui invoquera Dieu, et Dieu lui répondra. On se moque d'un homme qui est juste et droit.


Et maintenant je suis le sujet de leur chanson, et la matière de leur entretien.


Les orgueilleux se sont fort moqués de moi, mais je ne me suis point dé tourné de ta Loi.


Car ainsi m'a dit l'Eternel avec une main forte, et il m'a instruit de n'aller point par le chemin de ce peuple-ci, en me disant ;


Malheur à moi, ô ma mère ! de ce que tu m'as enfanté pour être un homme de débat, et un homme de querelle à tout le pays ; je ne me suis obligé à personne, et personne ne s'est obligé à moi, et néanmoins chacun me maudit et me méprise.


Pourquoi ma douleur est-elle rendue continuelle, et ma plaie est-elle sans espérance ? elle a refusé d'être guérie ; me serais-tu bien comme une chose qui trompe ? comme des eaux qui ne durent pas ?


Mais je ne me suis point avancé plus qu'un pasteur après toi, et je n'ai point désiré le jour de l'extrême affliction, tu le sais ; et ce qui est sorti de mes lèvres a été devant toi.


C'est pourquoi j'ai dit : je ne ferai plus mention de lui, et je ne parlerai plus en son Nom ; mais il y a eu dans mon coeur comme un feu ardent, renfermé dans mes os ; je suis las de le porter, et je n'en puis plus.


L'Eternel t'a établi pour Sacrificateur en la place de Jéhojadah le Sacrificateur, afin que vous ayez la charge de la maison de l'Eternel sur tout homme agité par l'esprit, et faisant du Prophète, pour les mettre en prison et aux fers :


Et le Roi Sédécias dit à Jérémie : j'appréhende à cause des Juifs qui se sont rendus aux Caldéens, qu'on ne me livre entre leurs mains, et qu'ils ne se moquent de moi.


J'ai été en risée à tous les peuples, et leur chanson, tout le jour.


L'Esprit donc m'éleva, et me ravit, et je m'en allai l'esprit rempli d'amertume et de colère mais la main de l'Eternel me fortifia.


Les jours de la visitation sont venus, les jours de la rétribution sont venus, et Israël le saura. Les Prophètes sont fous, les hommes de révélation sont insensés à cause de la grandeur de ton iniquité, et de ta grande aversion.


C'est pourquoi il fit cette requête à l'Eternel, et dit : Ô Eternel ! je te prie, n'est-ce pas ici ce que je disais, quand j'étais encore en mon pays ? C'est pourquoi j'avais voulu m'enfuir en Tarsis ; car je connaissais que tu es un Dieu Fort, miséricordieux, pitoyable, tardif à colère, abondant en gratuité, et qui te repens du mal dont tu as menacé.


Mais moi, je suis rempli de force, et de jugement, et de courage, par l'Esprit de l'Eternel, pour déclarer à Jacob son crime, et à Israël son péché.


Or les Pharisiens aussi, qui étaient avares, entendaient toutes ces choses, et ils se moquaient de lui.


Mais Hérode avec ses gens l'ayant méprisé, et s'étant moqué de lui, après qu'il l'eut revêtu d'un vêtement blanc, le renvoya à Pilate.


Et quelques-uns d'entre les Philosophes Epicuriens et d'entre les Stoïciens, se mirent à parler avec lui, et les uns disaient : que veut dire ce discoureur ? et les autres disaient : il semble être annonciateur de dieux étrangers ; parce qu'il leur annonçait Jésus et la résurrection.


Mais quand ils ouïrent ce mot de la résurrection des morts, les uns s'en moquaient, et les autres disaient : nous t'entendrons encore sur cela.


N'y a-t-il que Barnabas et moi qui n'ayons pas le pouvoir de ne point travailler ?


Et d'autres ont été éprouvés par des moqueries et par des coups, par des liens, et par la prison.


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