Exode 13:17 - Martin 174417 Or quand Pharaon eut laissé aller le peuple, Dieu ne les conduisit point par le chemin du pays des Philistins, quoi qu'il fût le plus court ; car Dieu disait : c'est afin qu'il n'arrive que le peuple se repente quand il verra la guerre, et qu'il ne retourne en Egypte. Tan-awa ang kapituloDugang nga mga bersyonBible catholique Crampon 192317 Lorsque Pharaon laissa aller le peuple, Dieu ne le conduisit point par le chemin du pays des Philistins, quoique le plus court; car Dieu dit: "Le peuple pourrait se repentir en voyant la guerre, et retourner en Egypte." Tan-awa ang kapituloFrançais Bible Louis Segond - fls17 Lorsque Pharaon laissa aller le peuple, Dieu ne le conduisit point par le chemin du pays des Philistins, quoique le plus proche; car Dieu dit: Le peuple pourrait se repentir en voyant la guerre, et retourner en Égypte. Tan-awa ang kapituloFRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique17 Or (le) Pharaon ayant fait sortir de ses terres le peuple d'Israël, le Seigneur ne les conduisit point par le chemin du pays des Philistins qui est voisin, de peur qu'ils ne vinssent à se repentir d'être ainsi sortis, s'ils voyaient s'élever des guerres contre eux, et qu'ils ne retournassent en Egypte. Tan-awa ang kapituloBible Darby en français17 *Et il arriva, quand le Pharaon laissa aller le peuple, que Dieu ne les conduisit pas par le chemin du pays des Philistins, qui est pourtant proche ; car Dieu dit : De peur que le peuple ne se repente lorsqu’ils verront la guerre, et qu’ils ne retournent en Égypte. Tan-awa ang kapituloFrançais-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni17 Et c'est, au renvoi du peuple par Pharaon, Elohîms ne les mena pas par la route de la terre des Pelishtîm : oui, elle était trop proche. Oui, Elohîms dit : "Que le peuple, s'émouvant en voyant la guerre, ne retourne pas en Misraîm". Tan-awa ang kapitulo |
Ils refusèrent d'écouter, et ne se souvinrent point des merveilles que tu avais faites en leur faveur ; mais ils roidirent leur cou, et par leur rébellion ils se proposèrent de s'établir un Chef pour retourner à leur servitude. Mais comme tu es un Dieu qui pardonne, miséricordieux, pitoyable, tardif à la colère, et abondant en gratuité, tu ne les abandonnas point.