Exode 10:7 - Martin 17447 Et les serviteurs de Pharaon lui dirent : jusques à quand celui-ci nous tiendra-t-il enlacés ? Laisse aller ces gens, et qu'ils servent l'Eternel leur Dieu. Attendras-tu de savoir avant cela que l'Egypte est perdue ? Tan-awa ang kapituloDugang nga mga bersyonBible catholique Crampon 19237 Les serviteurs de Pharaon lui dirent: "Jusques à quand cet homme sera-t-il pour nous un piège ? Laisse aller ces gens, et qu'ils servent Yahweh leur Dieu. Ne vois-tu pas encore que l'Egypte va à sa ruine?" Tan-awa ang kapituloFrançais Bible Louis Segond - fls7 Les serviteurs de Pharaon lui dirent: Jusqu'à quand cet homme sera-t-il pour nous un piège? Laisse aller ces gens, et qu'ils servent l'Éternel, leur Dieu. Ne vois-tu pas encore que l'Égypte périt? Tan-awa ang kapituloFRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique7 Mais les serviteurs du Pharaon dirent à ce prince : Jusqu'à quand souffrirons-nous ce scandale ? Laissez aller ces gens, afin qu'ils sacrifient au Seigneur leur Dieu. Ne voyez-vous pas que l'Egypte est perdue ? Tan-awa ang kapituloBible Darby en français7 Et les serviteurs du Pharaon lui dirent : Jusques à quand celui-ci sera-t-il pour nous un piège ? Laisse aller ces hommes, et qu’ils servent l’Éternel, leur Dieu. Ne sais-tu pas encore que l’Égypte est ruinée ? Tan-awa ang kapituloFrançais-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni7 Les serviteurs de Pharaon lui disent : "Jusqu'à quand cela sera un piège pour nous ? Envoie les hommes et qu'ils servent IHVH-Adonaï leur Elohîms. N'as-tu pas encore pénétré que Misraîm est perdu ? Tan-awa ang kapitulo |
Sachez certainement que l'Eternel votre Dieu ne continuera plus à déposséder ces nations devant vous ; mais elles vous seront en pièges, et en filet, et comme un fléau à vos côtés, et comme des épines à vos yeux, jusqu'à ce que vous périssiez de dessus cette bonne terre que l'Eternel votre Dieu vous a donnée.
C'est pourquoi ils envoyèrent, et assemblèrent tous les Gouverneurs des Philistins, en disant : Laissez aller l'Arche du Dieu d'Israël, et qu'elle s'en retourne en son lieu ; afin qu'elle ne nous fasse point mourir, nous et notre peuple ; car il y avait une frayeur mortelle par toute la ville, et la main de Dieu y était fort appesantie.