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Daniel 10:16 - Martin 1744

16 Et voici, quelqu'un ayant la ressemblance d'un homme toucha mes lèvres, et ouvrant ma bouche, je parlai, et je dis à celui qui était auprès de moi : mon Seigneur ! mes jointures se sont relâchées par cette vision, et je n'ai conservé aucune vigueur.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


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Français Bible Louis Segond - fls

16 Et voici, quelqu'un qui avait l'apparence des fils de l'homme toucha mes lèvres. J'ouvris la bouche, je parlai, et je dis à celui qui se tenait devant moi: Mon seigneur, la vision m'a rempli d'effroi, et j'ai perdu toute vigueur.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

16 Et voici que quelqu'un, qui avait la ressemblance d'un homme, toucha mes lèvres ; et ouvrant la bouche, je parlai, et je dis à celui qui se tenait devant moi : Mon Seigneur, à ta (votre) vue tous mes nerfs se sont relâchés, et il n'est resté en moi aucune force ;

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

16 Et voici, comme la ressemblance des fils des hommes toucha mes lèvres. Et j’ouvris ma bouche et je parlai, et je dis à celui qui se tenait devant moi : Mon seigneur, par la vision les douleurs m’ont saisi, et je n’ai conservé aucune force.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

16 Et voici comme la forme d'un fils de l'homme. Il me touche les lèvres; j'ouvre ma bouche, parle et dis à celui qui se dresse sur moi: "Adoni, dans la vision mes contractions se déversent sur moi; je ne détiens plus de force.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible des Peuples 1998 - BDP1998

16 Mais un personnage d’allure humaine me toucha les lèvres. J’ouvris la bouche pour parler et je dis à celui qui se tenait devant moi: “Mon seigneur, cette vision m’a rempli d’angoisse et m’a fait perdre tous mes moyens.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




Daniel 10:16
29 Cross References  

Et Moïse répondit à l'Eternel : hélas, Seigneur ! Je ne suis point un homme qui ait ni d'hier, ni de devant hier, la parole aisée, même depuis que tu as parlé à ton serviteur ; car j'ai la bouche et la langue empêchées.


Et Moïse répondit : hélas ! Seigneur, envoie, je te prie, celui que tu dois envoyer.


Car où il y a abondance de sagesse, il y a abondance de chagrin ; et celui qui s'accroît de la science, s'accroît du chagrin.


Et il en toucha ma bouche, et dit ; voici, ceci a touché tes lèvres, c'est pourquoi ton iniquité sera ôtée, et la propitiation sera faite pour ton péché.


Et l'Eternel avança sa main, et en toucha ma bouche, puis l'Eternel me dit : voici, j'ai mis mes paroles en ta bouche.


Et au dessus de cette étendue, qui était sur leurs têtes, il y avait la ressemblance d'un trône, qui était, à le voir, comme une pierre de saphir : et sur la ressemblance du trône il y avait une ressemblance, qui, à la voir, était comme un homme assis sur le trône.


Mais quand je te parlerai, j'ouvrirai ta bouche, et tu leur diras : ainsi a dit le Seigneur l'Eternel : que celui qui écoute, écoute ; et que celui qui n'écoute pas, n'écoute pas ; car ils sont une maison rebelle.


Et la main de l'Eternel avait été sur moi le soir avant que celui qui était échappé vînt, et l'Eternel avait ouvert ma bouche, en attendant que cet homme vînt le matin vers moi ; et ma bouche ayant été ouverte, je ne me tus plus.


Ce que j'ouïs bien, mais je ne l'entendis point ; et je dis : Mon Seigneur, quelle sera l'issue de ces choses ?


Alors Daniel, dont le nom était Beltesatsar, demeura tout étonné environ une heure, et ses pensées le troublaient ; et le Roi lui parla, et dit : Beltesatsar, que le songe ni son interprétation ne te trouble point ; et Beltesatsar répondit, et dit : Mon Seigneur, que le songe arrive à ceux qui t'ont en haine, et son interprétation à tes ennemis !


Alors l'esprit me défaillit dans mon corps, de moi Daniel, et les visions de ma tête me troublèrent.


Jusqu'ici est la fin de cette parole-là. Quant à moi Daniel, mes pensées me troublèrent fort, et mon bon visage fut changé en moi ; toutefois je gardai cette parole dans mon coeur.


Or quand moi Daniel j'eus vu la vision, et que j'en eus demandé l'interprétation, voici, comme la ressemblance d'un homme se tint devant moi.


Puis Gabriel s'en vint près du lieu où je me tenais, et quand il fut venu, je fus épouvanté, et je tombai sur ma face ; et il me dit : Fils d'homme, entends, car il y a un temps marqué pour cette vision.


Et comme il parlait avec moi, je m'assoupis ayant le visage contre terre ; puis il me toucha, et me fit tenir debout dans le lieu où je me tenais.


Et moi Daniel, je fus tout défait et malade pendant quelques jours ; puis je me levai, et je fis les affaires du Roi ; et j'étais tout étonné de la vision, mais il n'y eut personne qui l'entendit.


Comme donc je parlais encore dans ma prière, ce personnage Gabriel que j'avais vu en vision du commencement, volant promptement me toucha, environ sur le temps de l'oblation du soir.


Et à l'instant sa bouche fut ouverte, et sa langue déliée, tellement qu'il parlait en louant Dieu.


Car je vous donnerai une bouche et une sagesse, à laquelle tous ceux qui vous seront contraires, ne pourront contredire, ni résister.


Et Thomas répondit, et lui dit : Mon Seigneur, et mon Dieu !


Et il dit : Non ; mais je suis le chef de l'armée de l'Eternel, qui suis venu maintenant. Et Josué se jeta sur son visage en terre, et se prosterna, et lui dit : Qu'est-ce que mon Seigneur dit à son serviteur ?


Et au milieu des sept chandeliers d'or un personnage semblable à un homme, vêtu d'une longue robe, et ceint d'une ceinture d'or à l'endroit des mamelles.


Et Manoah pria instamment l'Eternel, et dit : Hélas, Seigneur ! que l'homme de Dieu que tu as envoyé, vienne encore, je te prie, vers nous, et qu'il nous enseigne ce que nous devons faire à l'enfant, quand il sera né.


Et Gédeon lui répondit : Hélas mon Seigneur ! est-il possible que l'Eternel soit avec nous ? et pourquoi donc toutes ces choses nous sont-elles arrivées ? Et où sont toutes ces merveilles que nos pères nous ont récitées, en disant : L'Eternel ne nous a-t-il pas fait monter hors d'Egypte ? car maintenant l'Eternel nous a abandonnés, et nous a livrés entre les mains des Madianites.


Et il lui répondit : Hélas, mon Seigneur ! par quel moyen délivrerai-je Israël ? Voici, mon millier est le plus pauvre qui soit en Manassé, et je suis le plus petit de la maison de mon père.


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