8 Alors le Roi se leva et s'assit à la porte : et on fit savoir à tout le peuple, en disant : Voilà, le Roi est assis à la porte ; et tout le peuple vint devant le Roi ; mais Israël s enfuit, chacun en sa tente.
8 Lève-toi donc, sors et parle selon le coeur de tes serviteurs; car je jure par Yahweh que, si tu ne sors pas, pas un homme ne passera avec toi cette nuit; et ce sera pour toi un mal pire que tous les maux qui te sont arrivés depuis ta jeunesse jusqu'à présent. »
8 Alors le roi se leva, et il s'assit à la porte. On fit dire à tout le peuple: Voici, le roi est assis à la porte. Et tout le peuple vint devant le roi. Cependant Israël s'était enfui, chacun dans sa tente.
8 Le roi alla donc s'asseoir à la porte de la ville ; et le peuple ayant été averti qu'il était là, tout le monde vint se présenter devant lui. Cependant Israël s'était enfui dans ses tentes (tabernacles).
8 Et maintenant, lève-toi, sors, et parle au cœur de tes serviteurs ; car je jure par l’Éternel que si tu ne sors, pas un homme ne demeurera cette nuit avec toi ; et ceci sera pire pour toi que tout le mal qui t’est arrivé depuis ta jeunesse jusqu’à maintenant.
8 Le roi se lève et siège à la porte. À tout le peuple, ils l'avaient rapporté pour dire: "Voici, le roi siège à la porte." Et tout le peuple vient en face du roi. Israël s'était enfui, chaque homme dans sa tente.
Et Absalom se levait le matin, et se tenait à côté du chemin qui allait vers la porte ; et s'il y avait quelqu'un qui eût quelque affaire, pour laquelle il fallût aller vers le Roi afin de demander justice, Absalom l'appelait, et lui disait : De quelle ville es-tu ? et il répondait : Ton serviteur est d'une telle Tribu d'Israël.
Et ils prirent Absalom, et le jetèrent en la forêt, dans une grande fosse ; et mirent sur lui un fort grand monceau de pierres ; mais tout Israël s'enfuit, chacun en sa tente.
Or David était assis entre les deux portes, et la sentinelle était allée sur le toit de la porte vers la muraille ; et élevant ses yeux elle regarda, et voilà un homme qui courait tout seul.
Et le Roi leur dit : Je ferai ce que bon vous semblera. Le Roi donc s'arrêta à la place de la porte, et tout le peuple sortit par centaines, et par milliers.
Tellement qu'en ce jour-là le peuple venait dans la ville à la dérobée, comme s'en irait à la dérobée, un peuple qui serait honteux d'avoir fui dans la bataille.
C'est pourquoi Joram passa à Tsahir avec tous ses chariots, et se leva de nuit, et frappa les Iduméens qui étaient autour de lui, et les Gouverneurs des chariots ; mais le peuple s'enfuit dans ses tentes.
Les Philistins donc combattirent, et les Israëlites furent battus, et s'enfuirent chacun en sa tente ; et il y eut une fort grande défaite, car il y demeura d'Israël trente mille hommes de pied.