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2 Samuel 13:28 - Martin 1744

28 Or Absalom avait commandé à ses serviteurs, en disant : Prenez bien garde, je vous prie, quand le coeur d'Amnon sera gai de vin, et que je vous dirai : Frappez Amnon, tuez-le ; ne craignez point ; n'est-ce pas moi qui vous l'aurai commandé ? Fortifiez-vous, et portez-vous en vaillants hommes.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha


Dugang nga mga bersyon

Bible catholique Crampon 1923

28 Absalom donna cet ordre à ses serviteurs: « Faites attention! Quand le coeur d'Amnon sera gavé par le vin et que je vous dirai: Frappez Amnon! Vous le tuerez. Ne craignez pas; n'est-ce pas moi qui vous l'ai commandé? Soyez fermes et montrez du courage! »

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français Bible Louis Segond - fls

28 Absalom donna cet ordre à ses serviteurs: Faites attention quand le coeur d'Amnon sera égayé par le vin et que je vous dirai: Frappez Amnon! Alors tuez-le; ne craignez point, n'est-ce pas moi qui vous l'ordonne? Soyez fermes, et montrez du courage!

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

28 Et il avait donné cet ordre à ses serviteurs : Remarquez lorsqu'Amnon commencera à être troublé par le vin, et que je vous dirai : Frappez-le, et tuez-le. Ne craignez point, car c'est moi qui vous commande. Soyez résolus, et agissez en hommes de cœur.

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Bible Darby en français

28 Et Absalom commanda à ses serviteurs, disant : Faites attention, je vous prie, quand le cœur d’Amnon sera gai par le vin, et que je vous dirai : Frappez Amnon, alors tuez-le, ne craignez point ; n’est-ce pas moi qui vous l’ai commandé ? Fortifiez-vous, et soyez vaillants !

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha

Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

28 Abshalôm ordonne et dit à ses adolescents: "Voyez donc, quand Amnôn aura le coeur bien dans le vin je vous dirai:

Tan-awa ang kapitulo Kopyaha




2 Samuel 13:28
30 Cross References  

Et il en but du vin, et s'enivra, et il se découvrit au milieu de sa tente.


Puis David l'appela, et il mangea et but devant lui, et David l'enivra ; et néanmoins il sortit au soir pour dormir dans son lit avec tous les serviteurs de son Seigneur, et ne descendit point en sa maison.


Et il écrivit ces lettres en ces termes : Mettez Urie à l'endroit où sera le plus fort de la bataille, et retirez-vous d'auprès de lui, afin qu'il soit frappé, et qu'il meure.


Maintenant donc l'épée ne partira jamais de ta maison, parce que tu m'as méprisé, et que tu as enlevé la femme d'Urie le Héthien, afin qu'elle fût ta femme.


Et Absalom le pressa tant, qu'il laissa aller Amnon, et tous les fils du Roi avec lui.


Or ta servante avait deux fils, qui se sont querellés dans les champs, et il n'y avait personne qui les séparât ; ainsi l'un a frappé l'autre, et l'a tué.


Et ils sortirent en plein midi, lorsque Ben-hadad buvait, s'enivrant dans les tentes, lui, et les trente-deux Rois qui étaient venus à son secours.


Or au septième jour, comme le Roi avait le coeur gai de vin, il commanda à Méhuman, Bizta, Harbona, Bigtha, Abagtha, Zéthar, et Carcas, les sept Eunuques qui servaient devant le Roi Assuérus,


Et le vin qui réjouit le coeur de l'homme, qui fait reluire son visage avec l'huile, et qui soutient le coeur de l'homme avec le pain.


Alors le Roi d'Egypte appela les sages-femmes, et leur dit : pourquoi avez-vous fait cela, d'avoir laissé vivre les fils ?


On apprête la viande pour se réjouir, et le vin réjouit les vivants ; mais l'argent répond de tout.


Va, mange ton pain avec joie, et bois gaiement ton vin ; car Dieu a déjà tes oeuvres pour agréables.


En cette même nuit Belsatsar, Roi de Caldée, fut tué ;


Car étant entortillés comme des épines, et ivres selon qu'ils ont accoutumé de s'enivrer, ils seront consumés entièrement comme la paille sèche.


Prenez donc garde à vous-mêmes, de peur que vos coeurs ne soient appesantis par la gourmandise et l'ivrognerie, et par les soucis de cette vie ; et que ce jour-là ne vous surprenne subitement.


Alors Pierre et les autres Apôtres répondant, dirent : il faut plutôt obéir à Dieu qu'aux hommes.


Ne t'ai-je pas commandé, et dit, fortifie-toi et te renforce ? Ne t'épouvante point, et ne t'effraye de rien ; car l'Eternel ton Dieu est avec toi partout où tu iras.


Comme ils faisaient bonne chère, voici les gens de la ville, hommes fort corrompus, environnèrent la maison, heurtant à la porte, et ils parlèrent au vieux homme, maître de la maison, en disant : Fais sortir cet homme qui est entré en ta maison, afin que nous le connaissions.


Ils s'assirent donc, et mangèrent et burent eux deux ensemble ; et le père de la jeune femme dit au mari : Je te prie qu'il te plaise de passer encore ici cette nuit, et que ton coeur se réjouisse.


Puis le mari se mit en chemin pour s'en aller, lui et sa concubine, avec son serviteur. Et son beau-père le père de la jeune femme, lui dit : Voici maintenant le jour baisse, il se fait tard, je vous prie passez ici la nuit, voici le jour finit, passe ici la nuit, et que ton coeur se réjouisse ; et demain au matin vous vous lèverez pour aller votre chemin, et tu t'en iras en ta maison.


Et Booz mangea et but, et étant devenu plus gai, il se vint coucher au bout d'un tas de javelles ; et elle vint tout doucement, et découvrit ses pieds, et se coucha.


Et Saül commanda à ses serviteurs de parler à David en secret, et de lui dire : Voici, le Roi prend plaisir en toi, et tous ses serviteurs t'aiment ; sois donc maintenant gendre du Roi.


Et Saül lui jura par l'Eternel, et lui dit : L'Eternel est vivant, s'il t'arrive aucun mal pour ceci.


Et le Roi lui répondit : Ne crains point ; mais qu'as-tu vu ? Et la femme dit à Saül : J'ai vu un Dieu qui montait de la terre.


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