2 Rois 7:9 - Martin 17449 Alors ils dirent l'un à l'autre : Nous ne faisons pas bien ; ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous ne disons mot ! si nous attendons jusqu'à ce que le jour soit venu, l'iniquité nous trouvera ; maintenant donc venez, allons, et faisons-le savoir à la maison du Roi. Tan-awa ang kapituloDugang nga mga bersyonBible catholique Crampon 19239 Alors ils se dirent l'un à l'autre: « Nous n'agissons pas bien. Ce jour est un jour de bonne nouvelle; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu'à la lumière du matin, nous trouverons le châtiment. Venez donc et allons informer la maison du roi. » Tan-awa ang kapituloFrançais Bible Louis Segond - fls9 Puis ils se dirent l'un à l'autre: Nous n'agissons pas bien! Cette journée est une journée de bonne nouvelle; si nous gardons le silence et si nous attendons jusqu'à la lumière du matin, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, et allons informer la maison du roi. Tan-awa ang kapituloFRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique9 Alors ils se dirent l'un à l'autre : Nous ne faisons pas bien ; car ce jour est un jour de bonne nouvelle. Si nous gardons le silence, et si nous n'en donnons pas avis avant demain matin, on nous accusera comme d'un crime. Allons donc porter cette nouvelle à la cour du roi. Tan-awa ang kapituloBible Darby en français9 Et ils se dirent l’un à l’autre : Nous ne faisons pas bien. Ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous nous taisons. Si nous attendons jusqu’à la lumière du matin, l’iniquité nous trouvera. Et maintenant, venez, allons et rapportons-le à la maison du roi. Tan-awa ang kapituloFrançais-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni9 Ils se disent, l'homme à son compagnon: "Nous ne faisons pas bien. Ce jour est un jour d'annonce, et nous nous taisons. Si nous attendions jusqu'à la lumière du matin, le tort nous trouverait. Maintenant, allons, venons, et rapportons-le à la maison du roi." Tan-awa ang kapitulo |
Ils vinrent donc, et crièrent aux portiers de la ville, et leur firent entendre, en disant : Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voilà, il n'y a personne, et on n'y entend la voix d'aucun homme ; mais il y a seulement des chevaux attachés, et des ânes attachés, et les tentes sont comme elles étaient.
Ces lépreux-là donc entrèrent jusqu'à l'un des bouts du camp, puis ils vinrent dans une tente, ils mangèrent, ils burent, ils prirent de là de l'argent, de l'or, et des vêtements, et ils s'en allèrent, et les cachèrent. Après quoi ils retournèrent et entrèrent dans une autre tente, et prirent de là aussi des mêmes choses, et s'en allèrent, et les cachèrent.