Et ils le priaient de permettre qu'ils touchassent seulement le bord de sa robe ; et tous ceux qui le touchèrent furent guéris.
Matthieu 9:20 - Martin 1744 Et voici, une femme travaillée d'une perte de sang depuis douze ans, vint par derrière, et toucha le bord de son vêtement. Dugang nga mga bersyonBible catholique Crampon 1923 Et voilà qu'une femme, affligée d'un flux de sang depuis douze années, s'approcha par derrière et toucha la houppe de son manteau. Français Bible Louis Segond - fls Et voici, une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans s'approcha par derrière, et toucha le bord de son vêtement. FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique Et voici qu'une femme, qui souffrait d'une perte de sang depuis douze ans, s'approcha par derrière, et toucha la frange de Son vêtement. Bible Darby en français Et voici, une femme qui avait une perte de sang depuis douze ans s’approcha par-derrière et toucha le bord de son vêtement ; Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni Et voici une femme atteinte d'hémorragie depuis douze ans. Elle approche par-derrière et touche le tsitsit de son vêtement. FRANÇAIS Bible des Peuples 1998 - BDP1998 C’est alors qu’une femme s’approcha par derrière et vint toucher la frange de son manteau. Cette femme souffrait de pertes de sang depuis une douzaine d’années |
Et ils le priaient de permettre qu'ils touchassent seulement le bord de sa robe ; et tous ceux qui le touchèrent furent guéris.
Et ils font toutes leurs oeuvres pour être regardés des hommes ; car ils portent de larges phylactères, et de longues franges à leurs vêtements.
Et partout où il était entré dans les bourgs, ou dans les villes, ou dans les villages, ils mettaient les malades dans les marchés, et ils le priaient de permettre qu'au moins ils pussent toucher le bord de sa robe ; et tous ceux qui le touchaient, étaient guéris.
Puis il vint à Bethsaïda, et on lui présenta un aveugle, en le priant qu'il le touchât.
De sorte que même on portait de dessus son corps des mouchoirs et des linges sur les malades, et ils étaient guéris de leurs maladies, et les esprits malins sortaient des possédés.
Et on apportait les malades dans les rues, et on les mettait sur de petits lits et sur des couchettes, afin que quand Pierre viendrait, au moins son ombre passât sur quelqu'un d'eux.