Celui qui égorge un bœuf, c'est comme qui tuerait un homme ; celui qui sacrifie une brebis, c'est comme qui couperait le cou à un chien ; celui qui offre un gâteau, c'est comme qui offrirait le sang d'un pourceau ; celui qui fait un parfum d'encens, c'est comme qui bénirait une idole. Mais ils ont choisi leurs voies, et leur âme a pris plaisir en leurs abominations.
Ne donnez point les choses saintes aux chiens, et ne jetez point vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent à leurs pieds, et que se retournant, ils ne vous déchirent.
Or il y avait là un grand troupeau de pourceaux qui paissaient sur la montagne, et ils le priaient de leur permettre d'entrer dans ces pourceaux ; et il le leur permit.
Le pourceau aussi, car il a bien l'ongle divisé, mais il ne rumine point ; il vous sera souillé. Vous ne mangerez point de leur chair ; même vous ne toucherez point à leur chair morte.