Mais l'Eternel frappa de grandes plaies Pharaon et sa maison, à cause de Saraï femme d'Abram.
Marc 3:10 - Martin 1744 Car il en avait guéri beaucoup, de sorte que tous ceux qui étaient affligés de quelque fléau, se jetaient sur lui, pour le toucher. Dugang nga mga bersyonBible catholique Crampon 1923 Car, comme il guérissait beaucoup de gens, tous ceux qui avaient quelque mal se jetaient sur lui pour le toucher. Français Bible Louis Segond - fls Car, comme il guérissait beaucoup de gens, tous ceux qui avaient des maladies se jetaient sur lui pour le toucher. FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique Car, comme il en guérissait beaucoup, tous ceux qui avaient quelque mal se jetaient sur lui, pour le toucher. Bible Darby en français car il en guérit beaucoup, de sorte que tous ceux qui étaient affligés de quelque fléau se jetaient sur lui afin de le toucher. Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni Oui, il en a guéri beaucoup, si bien qu'ils tombent sur lui pour le toucher, tous ceux que la souffrance harcèle. FRANÇAIS Bible des Peuples 1998 - BDP1998 En effet, il faisait tellement de guérisons que tous ceux qui souffraient de quelque mal se pressaient contre lui pour essayer de le toucher. |
Mais l'Eternel frappa de grandes plaies Pharaon et sa maison, à cause de Saraï femme d'Abram.
Mais la chair étant encore entre leurs dents, avant qu'elle fût mâchée, la colère de l'Eternel s'embrasa contre le peuple, et il frappa le peuple d'une très-grande plaie.
Mais Jésus connaissant cela, partit de là, et de grandes troupes le suivirent, et il les guérit tous.
Et Jésus étant sorti vit une grande multitude, et il en fut ému de compassion, et guérit leurs malades.
Et ils le priaient de permettre qu'ils touchassent seulement le bord de sa robe ; et tous ceux qui le touchèrent furent guéris.
Et Jésus allait par toute la Galilée, enseignant dans leurs Synagogues, prêchant l'Evangile du Royaume, et guérissant toute sorte de maladies, et toute sorte de langueurs parmi le peuple.
Et il lui dit : ma fille ! ta foi t'a sauvée ; va-t'en en paix, et sois guérie de ton fléau.
Et partout où il était entré dans les bourgs, ou dans les villes, ou dans les villages, ils mettaient les malades dans les marchés, et ils le priaient de permettre qu'au moins ils pussent toucher le bord de sa robe ; et tous ceux qui le touchaient, étaient guéris.
Puis il vint à Bethsaïda, et on lui présenta un aveugle, en le priant qu'il le touchât.
Et il le pria de la mener un peu loin de terre ; puis s'étant assis, il enseignait les troupes de dessus la nacelle.
Et toute la multitude tâchait de le toucher ; car il sortait de lui une vertu qui les guérissait tous.
Or le serviteur d'un certain Centenier, à qui il était fort cher, était malade, et s'en allait mourir.
(Or, en cette même heure-là il guérit plusieurs personnes de maladies et de fléaux, et des malins esprits ; et il donna la vue à plusieurs aveugles.)
Et on apportait les malades dans les rues, et on les mettait sur de petits lits et sur des couchettes, afin que quand Pierre viendrait, au moins son ombre passât sur quelqu'un d'eux.
Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, et il fouette tout enfant qu'il avoue.