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Jérémie 6:26 - Nouvelle Edition de Genève 1979

26 Fille de mon peuple, couvre-toi d'un sac et roule-toi dans la cendre, Prends le deuil comme pour un fils unique, Verse des larmes, des larmes amères! Car le dévastateur vient sur nous à l'improviste.

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অধিক সংস্কৰণ

Bible catholique Crampon 1923

26 Fille de mon peuple, ceins le cilice, roule-toi dans la cendre, prends le deuil comme pour un fils unique, fais des lamentations amères; car soudain le dévastateur arrive sur nous.

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Français Bible Louis Segond - fls

26 Fille de mon peuple, couvre-toi d'un sac et roule-toi dans la cendre, Prends le deuil comme pour un fils unique, Verse des larmes, des larmes amères! Car le dévastateur vient sur nous à l'improviste.

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FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

26 Fille de mon peuple, revêts-toi d'un cilice et couvre-toi de cendre ; prends le deuil comme pour un fils unique, gémis amèrement, car le dévastateur viendra tout à coup sur nous.

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Bible Darby en français

26 Fille de mon peuple, ceins-toi d’un sac, et roule-toi dans la cendre ; mène deuil comme pour un fils unique, [fais] une lamentation amère, car le dévastateur est venu subitement sur nous.

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Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

26 Fille-de-mon-peuple, ceins le sac, tords-toi dans la cendre! Le deuil de l'unique, fais-le pour toi, la lamentation d'amertume. Oui, soudain, il vient, le razzieur, contre nous!

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Jérémie 6:26
42 পৰস্পৰ সংযোগসমূহ  

et alla s'asseoir vis-à-vis, à une portée d'arc; car elle disait: Que je ne voie pas mourir mon enfant! Elle s'assit donc vis-à-vis de lui, éleva la voix et pleura.


La voix de la terreur retentit à ses oreilles; Au sein de la paix, le dévastateur va fondre sur lui;


Et Job prit un tesson pour se gratter et s'assit sur la cendre.


Le Seigneur, l'Eternel des armées, vous appelle en ce jour A pleurer et à vous frapper la poitrine, A vous raser la tête et à ceindre le sac.


C'est pourquoi je dis: Détournez de moi les regards, Laissez-moi pleurer amèrement; N'insistez pas pour me consoler Du désastre de la fille de mon peuple.


Au lieu de parfum, il y aura de l'infection; Au lieu de ceinture, une corde; Au lieu de cheveux bouclés, une tête chauve; Au lieu d'un large manteau, un sac étroit; Une marque flétrissante, au lieu de beauté.


Ce crime sera pour vous Comme une partie crevassée qui menace ruine Et fait saillie dans un mur élevé, Dont l'écroulement arrive tout à coup, en un instant:


Soyez dans l'effroi, insouciantes! Tremblez, indolentes! Déshabillez-vous, mettez-vous à nu Et ceignez vos reins!


Sur tous les lieux élevés du désert arrivent les dévastateurs, Car le glaive de l'Eternel dévore le pays d'un bout à l'autre; Il n'y a de paix pour aucun homme.


Si vous n'écoutez pas, Je pleurerai en secret, à cause de votre orgueil; Mes yeux fondront en larmes, Parce que le troupeau de l'Eternel sera emmené captif.


Dis-leur cette parole: Les larmes coulent de mes yeux nuit et jour, Et elles ne s'arrêtent pas; Car la vierge, fille de mon peuple, a été frappée d'un grand coup, D'une plaie très douloureuse.


Ses veuves sont plus nombreuses que les grains de sable de la mer; J'amène sur eux, sur la mère du jeune homme, Le dévastateur en plein midi; Je fais soudain tomber sur elle l'angoisse et la terreur.


Qu'on entende des cris sortir de leurs maisons, Quand soudain tu feras fondre sur eux des bandes armées! Car ils ont creusé une fosse pour me prendre, Ils ont tendu des filets sous mes pieds.


Ainsi parle l'Eternel: Nous entendons des cris d'effroi; C'est l'épouvante, ce n'est pas la paix.


En ce temps-là, il sera dit à ce peuple et à Jérusalem: Un vent brûlant souffle des lieux élevés du désert Sur le chemin de la fille de mon peuple, Non pour vanner ni pour nettoyer le grain.


On annonce ruine sur ruine, Car tout le pays est ravagé; Mes tentes sont ravagées tout à coup, Mes pavillons en un instant.


C'est pourquoi couvrez-vous de sacs, pleurez et gémissez; Car la colère ardente de l'Eternel ne se détourne pas de nous.


Ils pansent à la légère la plaie de la fille de mon peuple: Paix! paix! disent-ils; Et il n'y a point de paix;


Voici les cris de la fille de mon peuple Retentissent sur la terre lointaine: L'Eternel n'est-il plus à Sion? N'a-t-elle plus son roi au milieu d'elle? – Pourquoi m'ont-ils irrité par leurs images taillées, Par des idoles étrangères?


– Je suis brisé par la douleur de la fille de mon peuple, Je suis dans la tristesse, l'épouvante me saisit.


Oh! si ma tête était remplie d'eau, Si mes yeux étaient une source de larmes, Je pleurerais jour et nuit Les morts de la fille de mon peuple!


Sur les montagnes je veux pleurer et gémir, Sur les plaines du désert je prononce une complainte; Car elles sont brûlées, personne n'y passe, On n'y entend plus la voix des troupeaux; Les oiseaux du ciel et les bêtes ont pris la fuite, ont disparu.


C'est pour cela que je pleure, que mes yeux fondent en larmes; Car il s'est éloigné de moi, celui qui me consolerait, Qui ranimerait ma vie. Mes fils sont dans la désolation, parce que l'ennemi a triomphé.


Elle pleure durant la nuit, et ses joues sont couvertes de larmes; De tous ceux qui l'aimaient nul ne la console; Tous ses amis lui sont devenus infidèles, Ils sont devenus ses ennemis.


Mes yeux se consument dans les larmes, mes entrailles bouillonnent, Ma bile se répand sur la terre, A cause du désastre de la fille de mon peuple, Des enfants et des nourrissons en défaillance dans les rues de la ville.


Il a brisé mes dents avec des cailloux, Il m'a couvert de cendre.


Des torrents d'eau coulent de mes yeux, A cause de la ruine de la fille de mon peuple.


Les femmes, malgré leur tendresse, Font cuire leurs enfants; Ils leur servent de nourriture, Au milieu du désastre de la fille de mon peuple.


Les chacals même présentent la mamelle, Et allaitent leurs petits; Mais la fille de mon peuple est devenue cruelle Comme les autruches du désert.


Le châtiment de la fille de mon peuple est plus grand Que celui de Sodome, Détruite en un instant, Sans que personne ait porté la main sur elle.


Je changerai vos fêtes en deuil, Et tous vos chants en lamentations, Je couvrirai de sacs tous les reins, Et je rendrai chauves toutes les têtes; Je mettrai le pays dans le deuil comme pour un fils unique, Et sa fin sera comme un jour d'amertume.


La chose parvint au roi de Ninive; il se leva de son trône, ôta son manteau, se couvrit d'un sac, et s'assit sur la cendre.


Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu'ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né.


Lorsqu'il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville.


Sentez votre misère; soyez dans le deuil et dans les larmes; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse.


A vous maintenant, riches! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous.


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