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Ésaïe 15:5 - Nouvelle Edition de Genève 1979

5 Mon cœur gémit sur Moab, Dont les fugitifs se sauvent jusqu'à Tsoar, Jusqu'à Eglath-Schelischija; Car ils font, en pleurant, la montée de Luchith, Et ils jettent des cris de détresse sur le chemin de Choronaïm;

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অধিক সংস্কৰণ

Bible catholique Crampon 1923

5 Mon coeur gémit sur Moab; ses défenseurs sont déjà à Ségor, à Eglath-Schelischiah. Oui, la montée de Luhith, on la gravit en pleurant; et sur le chemin de Horonaïm, on pousse des cris de détresse.

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Français Bible Louis Segond - fls

5 Mon coeur gémit sur Moab, Dont les fugitifs se sauvent jusqu'à Tsoar, Jusqu'à Églath Schelischija; Car ils font, en pleurant, la montée de Luchith, Et ils jettent des cris de détresse sur le chemin de Choronaïm;

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FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique

5 Mon cœur poussera des cris sur Moab ; ses défenseurs vont jusqu'à Segor, génisse de trois ans. On monte en pleurant par la colline de Luith, et on jette(ra) des cris de détresse sur le chemin d'Oronaïm.

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Bible Darby en français

5 Mon cœur pousse des cris au sujet de Moab ; ses fugitifs [vont] jusqu’à Tsoar, [jusqu’à] Églath-Shelishija  ; car ils montent la montée de Lukhith en pleurant, et sur le chemin de Horonaïm ils élèvent un cri de ruine.

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Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni

5 Mon coeur pour Moab clame; ses fuyards jusqu'à So'ar, 'Èglat-Shelishyah ! Oui, la montée de Louhit, il y monte en pleurs; oui, la route de Horonaîm, ils y éveillent la clameur de la brisure.

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Ésaïe 15:5
23 পৰস্পৰ সংযোগসমূহ  

Lot leva les yeux, et vit toute la plaine du Jourdain, qui était entièrement arrosée. Avant que l'Eternel ait détruit Sodome et Gomorrhe, c'était, jusqu'à Tsoar, comme un jardin de l'Eternel, comme le pays d'Egypte.


il arriva qu'ils firent la guerre à Béra, roi de Sodome, à Birscha, roi de Gomorrhe, à Schineab, roi d'Adma, à Schémeéber, roi de Tseboïm, et au roi de Béla, qui est Tsoar.


Hâte-toi de t'y réfugier, car je ne puis rien faire jusqu'à ce que tu y sois arrivé. C'est pour cela que l'on a donné à cette ville le nom de Tsoar.


Toute la contrée était en larmes et l'on poussait de grands cris, au passage de tout le peuple. Le roi passa le torrent de Cédron, et tout le peuple passa vis-à-vis du chemin qui mène au désert.


David monta la colline des Oliviers. Il montait en pleurant et la tête couverte, et il marchait nu-pieds; et tous ceux qui étaient avec lui se couvrirent aussi la tête, et ils montaient en pleurant.


Et maintenant l'Eternel parle, et dit: Dans trois ans, comme les années d'un mercenaire, La gloire de Moab sera l'objet du mépris, Avec toute cette grande multitude; Et ce qui restera sera peu de chose, presque rien.


Car c'est un jour de trouble, d'écrasement et de confusion, Envoyé par le Seigneur, l'Eternel des armées, Dans la vallée des visions. On démolit les murailles, Et les cris de détresse retentissent vers la montagne.


Leurs pieds courent au mal, Et ils ont hâte de répandre le sang innocent; Leurs pensées sont des pensées d'iniquité, Le ravage et la ruine sont sur leur route.


Si vous n'écoutez pas, Je pleurerai en secret, à cause de votre orgueil; Mes yeux fondront en larmes, Parce que le troupeau de l'Eternel sera emmené captif.


Et moi, pour t'obéir, je n'ai pas refusé d'être pasteur; Je n'ai pas non plus désiré le jour du malheur, tu le sais; Ce qui est sorti de mes lèvres est présent devant toi.


Mes entrailles! mes entrailles: je souffre au-dedans de mon cœur, Mon cœur bat, je ne puis me taire; Car tu entends, mon âme, le son de la trompette, Le cri de guerre.


On annonce ruine sur ruine, Car tout le pays est ravagé; Mes tentes sont ravagées tout à coup, Mes pavillons en un instant.


Des cris partent des Choronaïm; C'est un ravage, c'est une grande détresse.


Car on répand des pleurs à la montée de Luchith, Et des cris de détresse retentissent à la descente de Choronaïm.


Au bruit de la prise de Babylone la terre tremble, Et un cri se fait entendre parmi les nations.


Sur les montagnes je veux pleurer et gémir, Sur les plaines du désert je prononce une complainte; Car elles sont brûlées, personne n'y passe, On n'y entend plus la voix des troupeaux; Les oiseaux du ciel et les bêtes ont pris la fuite, ont disparu.


Malheur à toi, Moab!Tu es perdu, peuple de Kemosch!Il a fait de ses fils des fuyards,Et il a livré ses filles captivesA Sihon, roi des Amoréens.


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