Ils le suppliaient de leur permettre seulement de toucher le bord de son vêtement, et tous ceux qui le touchèrent furent guéris.
Matthieu 9:20 - Bible Segond 21 C'est alors qu'une femme qui souffrait d'hémorragies depuis 12 ans s'approcha par-derrière et toucha le bord de son vêtement, অধিক সংস্কৰণBible catholique Crampon 1923 Et voilà qu'une femme, affligée d'un flux de sang depuis douze années, s'approcha par derrière et toucha la houppe de son manteau. Français Bible Louis Segond - fls Et voici, une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans s'approcha par derrière, et toucha le bord de son vêtement. FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique Et voici qu'une femme, qui souffrait d'une perte de sang depuis douze ans, s'approcha par derrière, et toucha la frange de Son vêtement. Bible Darby en français Et voici, une femme qui avait une perte de sang depuis douze ans s’approcha par-derrière et toucha le bord de son vêtement ; Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni Et voici une femme atteinte d'hémorragie depuis douze ans. Elle approche par-derrière et touche le tsitsit de son vêtement. FRANÇAIS Bible des Peuples 1998 - BDP1998 C’est alors qu’une femme s’approcha par derrière et vint toucher la frange de son manteau. Cette femme souffrait de pertes de sang depuis une douzaine d’années |
Ils le suppliaient de leur permettre seulement de toucher le bord de son vêtement, et tous ceux qui le touchèrent furent guéris.
Toutes leurs actions, ils les font pour se faire remarquer des hommes. Ainsi, ils portent de grands phylactères et allongent les franges [de leurs vêtements].
Partout où il arrivait, dans les villages, dans les villes ou dans les campagnes, on mettait les malades sur les places publiques et on le suppliait de leur permettre seulement de toucher le bord de son vêtement. Tous ceux qui le touchaient étaient guéris.
Ils se rendirent à Bethsaïda; on amena un aveugle vers Jésus et on le supplia de le toucher.
au point qu'on appliquait sur les malades des linges ou des mouchoirs qui avaient touché son corps; les maladies les quittaient et les esprits mauvais sortaient [d'eux].
On en venait à sortir les malades dans les rues et à les placer sur des civières et des brancards afin que, lorsque Pierre passerait, son ombre au moins couvre l'un d'eux.