Je le surprendrai pendant qu'il est fatigué et sans force, je l'effraierai et tout le peuple qui l'accompagne prendra la fuite. Je frapperai seulement le roi,
2 Samuel 4:1 - Bible Segond 21 Lorsque le fils de Saül apprit qu'Abner était mort à Hébron, ses mains restèrent sans force et tout Israël fut épouvanté. অধিক সংস্কৰণBible catholique Crampon 1923 Lorsque le fils de Saül apprit qu'Abner était mort à Hébron, ses mains furent sans force, et tout Israël fut dans la consternation. Français Bible Louis Segond - fls Lorsque le fils de Saül apprit qu'Abner était mort à Hébron, ses mains restèrent sans force, et tout Israël fut dans l'épouvante. FRANÇAIS Bible Vigouroux Catholique Lorsqu'Isboseth, fils de Saül, apprit qu'Abner avait été tué à Hébron, il perdit courage : et tout Israël fut troublé. Bible Darby en français Et quand le fils de Saül apprit qu’Abner était mort à Hébron, ses mains furent affaiblies, et tout Israël fut troublé. Français-Jewish Bible Chouraqui 1987 Deutérocanoni Le fils de Shaoul l'entend, oui, Abnér est mort à Hèbrôn. Ses mains se relâchent et tout Israël s'affole. FRANÇAIS Bible des Peuples 1998 - BDP1998 Le fils de Saül apprit qu’Abner était mort à Hébron; les bras lui en tombèrent et tout Israël trembla. |
Je le surprendrai pendant qu'il est fatigué et sans force, je l'effraierai et tout le peuple qui l'accompagne prendra la fuite. Je frapperai seulement le roi,
Cependant Abner, fils de Ner et chef de l'armée de Saül, avait pris Ish-Bosheth, le fils de Saül, et l'avait fait passer à Mahanaïm.
Lorsque Abner fut de retour à Hébron, Joab le tira à l'écart à l'intérieur de la porte de la ville, comme pour lui parler en secret. Là il le frappa au ventre et le tua pour venger la mort de son frère Asaël.
Alors les populations du pays découragèrent le peuple juif; elles l'intimidèrent pour l'empêcher de construire
Tous ces gens voulaient nous effrayer; ils se disaient: «Ils baisseront les bras et le travail ne se fera pas.» Maintenant, mon Dieu, fortifie-moi!
En apprenant la nouvelle, le roi de Babylone baisse les bras. L'angoisse s'empare de lui, pareille à la douleur d'une femme qui accouche.
«En apprenant la nouvelle, nous baissons les bras. L'angoisse s'empare de nous, pareille à la douleur d'une femme qui accouche.